RueFrancis de Croisset 75018 Paris. Paris. 18Ăšme. rue Francis de Croisset. Histoire de la rue . Origine du nom. Francis de Croisset (1877 - 1937), Ă©crivain français d'origine belge, auteur de romans et de comĂ©dies. Histoire de la rue. Ouverte par la Ville de Paris. PrĂ©cĂ©demment, partie de la rue Ginette Neveu entre l'avenue de la Porte de Clignancourt et l'actuelle rue ActualitĂ©s ExtrĂ©misme violent Un Ă©tudiant en sociologie plaide pour la crĂ©ation d’un ... Dans une lettre qu’il a adressĂ©e au ministre en charge de l’enseignement supĂ©rieur, Pr Alkassoum Maiga, le 29 avril 2020, Daouda Sedogo, Ă©tudiant en master 2 de Sociologie Ă  l’universitĂ© Joseph Ki-Zerbo et en master 2 d’étude de dĂ©veloppement Ă  Paris 1, plaide pour la crĂ©ation d’un centre ou une formation de recherche sur l’extrĂ©misme violent dans les universitĂ©s du Burkina. L’auteur de la lettre estime qu’il faut offrir des outils efficaces aux Ă©tudiants pour dĂ©velopper des compĂ©tences cruciales Ă  la gestion des conflits et de sĂ©curitĂ© au Burkina Faso. 8 rue Francis de Croisset 75018 Sedogod PARIS, le 29/04/2020 Monsieur Alkassoum MAIGA, Ministre de l’Enseignement supĂ©rieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Objet Plaidoyer pour l’ouverture d’un Centre ou Formation sur l’extrĂ©misme violent dans une UniversitĂ© du Burkina Faso. Monsieur le Ministre, Je suis l’un de vos anciens Ă©tudiants de la sociologie et je vous Ă©cris pour vous faire part d’un plaidoyer universitaire notamment celui de l’enseignement dans nos UniversitĂ©s. Je tiens Ă  prĂ©ciser que je ne remets pas en cause la qualitĂ© de l’enseignement dans nos UniversitĂ©s car j’ai pu bĂ©nĂ©ficier de mes enseignants que je salue au passage, une somme de savoir-faire depuis la premiĂšre annĂ©e de sociologie. Ce message vise Ă  nous faire prendre conscience de la nĂ©cessitĂ© de crĂ©er un Centre ou une Formation de recherche sur l’extrĂ©miste violent dans l’une de nos UniversitĂ©s. Partout dans le monde, l’insĂ©curitĂ© est grandissante et le Sahel y compris le Burkina Faso ne sont pas en marges de ces insĂ©curitĂ©s. Notre pays qui ne s’attendait pas Ă  ces attaques, fut rĂ©veillĂ© le 16 janvier 2016 par une attaque commando faisant une dizaine de morts sur l’avenue Kwame N’Kruma. Depuis cette date, la menace est devenue rĂ©elle et nos habitudes face Ă  cette situation ont changĂ©. Nous avons changĂ© notre maniĂšre de voir et de penser tout en vivant dans la peur et dans la menace quotidienne. Le centre de gravitĂ© a Ă©voluĂ© en passant du Centre vers le Nord puis vers l’Est du pays. Et l’épicentre du terrorisme est en train de se stabiliser dans ces parties citĂ©es faisant des vulnĂ©rabilitĂ©s. Selon Mohamed Ibn Chambas, le Chef du Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel UNOWAS, le nombre de personnes tuĂ©es au Burkina Faso est passĂ© d’environ 80 en 2016 Ă  plus de en 2019. Ce chiffre nous montre Ă  telle enseigne que nous sommes dans une situation mortifĂšre violente. Evidemment que notre gouvernement travaille pour ramener la stabilitĂ© afin que les fils et filles puissent vivre dans l’union, la joie et surtout dans la cohĂ©sion. S’il est vrai que vos actions sont Ă  saluer sur le plan national, pour ma part, en tant qu’étudiant, il me semble utile et important de nous associer dans cette lutte asymĂ©trique qui dĂ©stabilise les activitĂ©s socio-Ă©conomiques et menace notre intĂ©gritĂ© territoriale. Lorsque je dis de nous associer, il n’est pas question ici de nous donner des armes militaires mais de nous donner les moyens scientifiques afin de produire des rapports, de faire des analyses, des cartographies etc
sur l’évolution de la situation sĂ©curitaire comme bons nombres de pays le font dĂ©jĂ . Le conseil des ministres du 11 octobre 2019 s’inscrit dans ce sens lorsqu’il a pris un dĂ©cret portant crĂ©ation, je cite d’ un Centre national d’études stratĂ©giques en dĂ©fense et sĂ©curitĂ© » afin de traiter des problĂ©matiques liĂ©es aux questions de dĂ©fense et de sĂ©curitĂ© au niveau national et international ». De ce fait, il est nĂ©cessaire pour nous de permettre Ă  l’élite de demain de comprendre les logiques conflictuelles car ces logiques s’inscrivent sur une longue durĂ©e et pour le Burkina, nous avons besoin d’une expertise endogĂšne afin de comprendre les Ă©quilibres stratĂ©giques de cette guerre que nous menons contre l’autre invisible qui gagne du terrain. Nous pouvons adapter cette formation qui sera issue des sciences sociales et humaines comme le modĂšle de l’UniversitĂ© du Caire ou ĂȘtre en partenariat avec des instituts de recherche sur la sĂ©curitĂ© ou les conflits. Certains Ă©tudiants maliens et sĂ©nĂ©galais bĂ©nĂ©ficient dĂ©jĂ  de ces partenariats Ă  travers l’octroi des bourses dans les instituts comme ISS institut d’Etude et de SĂ©curitĂ© de Dakar et de Bamako ou dans les UniversitĂ©s Françaises Paris 1 ou Montpellier. Nous n’avons pas une littĂ©rature abondante et fiable pour comprendre ce qui se passe dans notre propre pays. Nous nous referons le plus souvent aux coupures de presse nationale et internationale qui parfois vĂ©hiculent des informations non fondĂ©es. Aussi, cette question est traitĂ©e par des nouveaux acteurs mĂ©diatiques qui se font passer pour des experts et cela contribue Ă  dĂ©velopper parfois des idĂ©es confuses et des mauvais jugements sur la question sĂ©curitaire pouvant aller Ă  la stigmatisation d’un groupe compte tenu de la sensibilitĂ© de la question. C’est face Ă  tous ces constats et conscient que seule la recherche scientifique pourra nous aider que je viens par ce message solliciter votre aide en tant que Premier responsable de la Recherche Scientifique de bien vouloir nous permettre de rĂȘver en mettant en place un Centre enracinĂ© dans une perspective pluridisciplinaire et qui sera orientĂ© vers la comprĂ©hension des logiques conflictuelles actuelles au Burkina. Le PrĂ©sident de la RĂ©publique son Excellence Roch KaborĂ© l’a si bien dit, la rĂ©ponse est sociale pour preuve, nous avons mis en Ɠuvre le Programme d’Urgence Sahel ou le PUS financĂ© Ă  plus de 414,9 milliards de FCFA et nous sommes tous unanimes sur cela Chercheurs, humanitaires, spĂ©cialistes etc.. et si elle est sociale, il convient pour nous en tant qu’acteurs universitaires de comprendre les dynamiques sociologiques, spatiales, et Ă©conomiques des diffĂ©rentes rĂ©gions avant d’apporter la rĂ©ponse car la recherche prĂ©cĂšde les actions Ă  venir j’oubliais que je suis un bĂ©bĂ© qui n’a pas encore grandi face Ă  mon grand-pĂšre scientifique qui a donnĂ© naissance Ă  plusieurs docteurs qui sont devenues mes enseignants aujourd’hui . La production de ces rapports seront utiles pour les ministĂšres de la dĂ©fense, de la cohĂ©sion sociale et pour nous car les rapports peuvent inspirer les Ă©tudiants Ă  comprendre et Ă  s’impliquer dans cette recherche-action sans oublier les hommes de mĂ©dias. Pour terminer, je dirai que nous devrons offrir des outils efficaces aux Ă©tudiants pour dĂ©velopper des compĂ©tences cruciales Ă  la gestion des conflits et de sĂ©curitĂ© au Burkina Faso. Nous devrons former des spĂ©cialistes pour rĂ©pondre avec rigueur et dĂ©termination dans les domaines de la gestion et de la prĂ©vention des conflits ainsi que la cohĂ©sion sociale. Permettons une fois de plus Ă  ces Ă©tudiants de jouer un rĂŽle significatif dans cette lutte qui doit nous rassembler sans distinction socioprofessionnelle. Ces Ă©tudiants peuvent dĂ©montrer leur leadership et le Burkina a toujours eu les meilleurs Ă©tudiants motivĂ©s et engagĂ©s mĂȘme avec des conditions minimales ils arrivent Ă  hisser le drapeau haut. Monsieur le Ministre, permettez-nous d’avoir une perspective actualisĂ©e sur les conflits Ă  partir du Centre ou d’une Formation universitaire. Le contexte actuel nous impose cette vision actualisĂ©e et nous devrons rĂ©orienter nos axes de recherches car depuis 2016, les paradigmes ne sont plus les mĂȘmes, ils ont Ă©voluĂ© donc il s’agit pour nous de questionner ces nouvelles dynamiques et dimensions afin de proposer des stratĂ©gies durables. Je ne dis pas une fois de plus qu’il s’agit de nous focaliser sur cette question au dĂ©triment des autres axes de recherches mais celles-ci mĂ©ritent une attention particuliĂšre. Peut-ĂȘtre que je ne suis pas sur le bon chemin ou encore il existe dĂ©jĂ  une rĂ©flexion sur cette question mais ce n’est qu’un pauvre plaidoyer parmi tant d’autres et je me rĂ©serve sur le fonctionnement administratif du Centre ou de cette Formation qui peut ĂȘtre traitĂ© en amont avec les responsables des formations concernĂ©es en cas d’approbation. Je vous remercie sincĂšrement de votre attention et je vous accompagne dans mes priĂšres pour un jour voir la rĂ©alisation du centre tout en vous adressant un joyeux ramadan. Veuillez agrĂ©er, Monsieur le Ministre, l’assurance de ma haute considĂ©ration. SEDOGO DAOUDA Lutte contre la crise sĂ©curitaire et humanitaire au ... Programme d’appui aux gouvernements ouverts francophones ... Fonction publique-Burkina Les acteurs se concertent ... Projet d’amĂ©lioration de la qualitĂ© de l’habitat en terre ... Gendarmerie nationale du Burkina 1250 Ă©lĂšves ... Lutte contre les maladies Ă  transmission vectorielle ... ArchidiocĂšse de Bobo-Dioulasso Mgr Paul OuĂ©draogo ... JournĂ©e internationale l’hygiĂšne menstruelle 2022 La ... PremiĂšre Ă©dition des journĂ©es promotionnelles du sĂ©same ... 48 heures du rĂ©sident du pĂŽle urbain de Bassinko La ... PrĂ©vention et gestion des conflits L’UFC-Dori forme des ... Burkina Une seule partie de la population ne peut ... OpĂ©ration mana-mana Un acte citoyen de lutte contre ... Gestion hygiĂ©nique des menstrues Les jeunes ... Financement des collectivitĂ©s territoriales Les ... Fin d’annĂ©e scolaire Le collĂšge Notre-Dame de ... SafanĂ© Boucle du Mouhoun La SNV veut briser les ... Mine de Perkoa Deux autres corps sans vie retrouvĂ©s 2e Ă©dition de la Nuit de la jeunesse de Gaoua Des ... OpĂ©ration mana-mana Si nous collectons nos ordures ... Examens scolaires 2022 Le ministĂšre de l’Education ... 75018PARIS MĂ©tro. Porte de Clignancourt, ligne 4. Velib. Station 18122, 5 rue binet Station 18032, face 59 rue belliard Station 18036, 7 rue francis de croisset Autres Ă©vĂ©nements Samedi 2 juillet Gymnase Ronsard. AprĂšs-midi : ateliers de cirque et danse avec des enfants en situation de handicap. A partir de 18h : reprĂ©sentation du Cabaret de Ronsard, avec des artistes valides
Annuaire des rĂ©sidences CROUS CarteListeRĂ©sidencesRĂ©sultats 699 rĂ©sidences Ref. 0754774G Paris F. DE CROISSET 4-8 rue Francis de Croisset75018 ParisTĂ©l. DisponibilitĂ©s immĂ©diates Studio ou T1 0 / 306 T2 0 / 18 T2 1 0 / 27 Informations gĂ©nĂ©rales - AccĂšs et stationnement Description Espaces collectifs salle de restauration, bibliothĂšque, salle de travail, salle de tĂ©lĂ©vision, laverie, salle des fĂȘtes Equipements collectifs lave-linge, sĂšche-linge, table Ă  repasser SĂ©curitĂ© Gardien / Veilleur, Interphone, Digicode ConnectivitĂ©s Prise antenne, Prise tĂ©lĂ©phone, Prise cĂąble, Prise Internet cĂąble Ă  fournir, Wifi A proximitĂ© Resto U et/ou cafĂ©tĂ©ria, Superette, Pharmacie, Installation sportive Mode de paiement - Pour confirmer votre rĂ©servation, adresser cette notification Ă  FRANCIS DE CROISSET, 8 rue F de Croisset, 75018 Paris tel avec le chĂšque libellĂ© Ă  l'ordre du rĂ©gisseur de la rĂ©gie Francis de Croisset en indiquant au dos vos nom, pr Studio ou T1 T2 T2 1 Loyer € Dont complĂ©ment de loyer €Dont charges € Ă©lectricitĂ©, gaz, eau, chauffage, entretien locaux collectifsDĂ©pĂŽt de garantie € Cuisine1 kitchenette individuel2 plaques individuel1 rĂ©frigĂ©rateur individuel1 evier individuel Chauffage1 chauffage individuel Sanitaires1 baignoire individuel1 lavabo individuel1 wc individuel Autres1 bureau individuel1 chaise individuel1 lit simple individuel1 placard individuel TĂ©lĂ©communications1 prise tĂ©lĂ©phone individuel1 prise tv individuel Logements disponibles 0 / 306 Ref. 0754774G11C Loyer de Ă  € Dont complĂ©ment de loyer de Ă  €Dont charges de Ă  € Ă©lectricitĂ©, gaz, eau, chauffage, entretien locaux collectifsDĂ©pĂŽt de garantie de Ă  € Cuisine1 kitchenette individuel1 plaques individuel1 rĂ©frigĂ©rateur individuel1 evier individuel Chauffage1 chauffage individuel Sanitaires1 baignoire individuel1 lavabo individuel1 wc individuel Autres2 bureaux individuel2 lit simple individuel1 placard individuel TĂ©lĂ©communications1 prise tĂ©lĂ©phone individuel1 prise tv individuel Logements disponibles 0 / 18 Ref. 0754774G22C Loyer de 182 Ă  € Dont complĂ©ment de loyer de Ă  €Dont charges de Ă  € Ă©lectricitĂ©, gaz, eau, chauffage, entretien locaux collectifsDĂ©pĂŽt de garantie € Cuisine1 kitchenette individuel2 plaques individuel1 rĂ©frigĂ©rateur individuel1 evier individuel Chauffage1 chauffage individuel Sanitaires1 baignoire individuel1 lavabo individuel1 wc individuel Autres2 bureaux individuel2 chaises individuel2 lit simple individuel2 placards individuel1 table individuel TĂ©lĂ©communications1 prise tĂ©lĂ©phone individuel1 prise tv individuel Logements disponibles 0 / 27 Ref. 0754774GB2C CoordonnĂ©es du propriĂ©taire Pour accĂ©der aux coordonnĂ©es des propriĂ©taires et pouvoir ainsi les contacter, vous devez vous connecter avec votre compte Vous avez dĂ©jĂ  un compte MesServices Ă©tudiant
Adresse: 9 Rue Francis De Croisset, 75018 Paris. 2 243 m . Ass Des Comptables Enseignement ActivitĂ©(s) :Formation, Cours de Français, Cours D'Art Floral, Formation Continue. Adresse : 8 Rue Casses, 93400 Saint-Ouen. 3 245 m . Cfa Ace ActivitĂ©(s) :Formation, UniversitĂ©. Adresse : 58 Rue Du Professeur Gosset, 75018 Paris. 4 255 m . CollĂšge Maurice Utrillo Besoin d'un coup de pouce ? La Ville de Paris et plusieurs associations de solidaritĂ© proposent des aides alimentaires gratuites pour toutes les Plusieurs dispositifs de distributions alimentaires entiĂšrement gratuites existent ou vont ĂȘtre mises en place, pour tous les Ă©tudiantes, boursiersiĂšres ou non ! Si vous avez des difficultĂ©s n’hĂ©sitez pas ! Nous vous rappelons que vous pouvez bĂ©nĂ©ficier de l’offre du CROUS avec des repas Ă  1€. SommaireLes Restos du cƓurCo’p1 – SolidaritĂ©s ÉtudiantesSecours Populaire AGORAĂ©Epi’SolLinkee Les Restos du cƓur Paris Centre OĂč ? A QJ, 4, place du Louvre 75001 Paris Pour qui ? Pour les Ă©tudiants et les moins de 25 ans en situation de prĂ©caritĂ© Quand ? Tous les jeudis de 12h Ă  19h. Se prĂ©senter muni piĂšce d’identitĂ©, justificatifs de domicile et de revenus. Dans le 18Ăšme OĂč ? Rue des poissonniers Quand ? Le mardi de 18h Ă  21HPour qui ? Les Ă©tudiants et jeunes de moins de 25 ans. Dans le 20Ăšme Pour qui ? Les Ă©tudiants et jeunes de moins de 25 ans. OĂč ? 75, boulevard Mortier – 75020 Paris – M° Porte de Bagnolet ou Pelleport ou St Fargeau ou Porte des Lilas – Tram T3B Adrienne Bolland Quand ? Tous les samedis – Accueil et inscription de 12h Ă  13h30 – Accompagnement et distribution de 13h30 Ă  17h Co’p1 – SolidaritĂ©s Étudiantes Paris Centre Les jeudis et vendredis de 18H30 Ă  21H30 Ă  MIE Bastille – 50, rue des Tournelles 75003, pour tous les Ă©tudiants Dans le 13Ăšme Tous les samedis de 12H30 Ă  16H30 pour tous les Ă©tudiants aux Amarres, 24 Quai d’Austerlitz 75013 Paris. Secours Populaire Les permanences d’accĂšs aux aides alimentaires ont lieu les mardis de 11h Ă  16h dernier rendez-vous Ă  15h30 et les vendredis de 11h Ă  14H. Ces permanences sont accessibles par rendez-vous etudiants et ont lieu au 6 rue Albert Bayet dans le 13eme. Les permanences d’accĂšs aux aides alimentaires Ă  Jussieu sont Ă©galement pour les Ă©tudiants qui y Ă©tudient. Elles ont lieu sans rendez-vous les jeudis de 11h Ă  14h, Ă  cette adresse UniversitĂ© Pierre et Marie Curie BĂątiment T – bureau 220 4 place Jussieu – 75005 Paris AGORAĂ© L’AGORAĂ© est un espace d’échanges et de solidaritĂ© qui se compose d’un lieu de vie ouvert Ă  et d’une Ă©picerie solidaire accessible sur critĂšres sociaux. Pour en bĂ©nĂ©ficier les Ă©tudiants doivent remplir le dossier disponible ici Adresses 3, AllĂ©e Paris Ivry, 75013, Paris et 8 rue Francis de Croisset 75018 ParisTĂ©lephone 06 98 55 23 92Mail agorae Epi’Sol Epi’sol est une Ă©picerie solidaire du 5Ăšme arrondissement. Pour faire une demande, merci de remplir le dossier disponible ici. Contact contact Linkee Tous les jeudis de 18H30 Ă  20HAdresse 80 rue des Haies, 75020 šParis Pour s’inscrire, merci d’envoyer un mail Ă  etudiants20 Tous les mardis de 18H Ă  19H15Adresse 135 rue des Poissonniers, 75018 Paris Pour s’inscrire, merci d’envoyer un mail Ă  etudiant18 Tous les lundis de 19H30 Ă  21HAdresse 15 rue Jean Antoine de BaĂŻf, 75013 Paris Pour s’inscrire, merci d’envoyer un mail Ă  etudiant13 Vous proposez une aide alimentaire ? Pour figurer dans notre liste, merci de contacter mie
UniversitĂ©- 1223m Sorbonne UniversitĂ© - FacultĂ© des Lettres, Campus Clignancourt 2 Rue Francis de Croisset 75018 École - 164m École Ă©lĂ©mentaire Gustave Rouanet 7 Rue Gustave Rouanet 75018 Paris
ActualitĂ©s ExtrĂ©misme violent Un Ă©tudiant en sociologie plaide pour la crĂ©ation d’un ... Dans une lettre qu’il a adressĂ©e au ministre en charge de l’enseignement supĂ©rieur, Pr Alkassoum Maiga, le 29 avril 2020, Daouda Sedogo, Ă©tudiant en master 2 de Sociologie Ă  l’universitĂ© Joseph Ki-Zerbo et en master 2 d’étude de dĂ©veloppement Ă  Paris 1, plaide pour la crĂ©ation d’un centre ou une formation de recherche sur l’extrĂ©misme violent dans les universitĂ©s du Burkina. L’auteur de la lettre estime qu’il faut offrir des outils efficaces aux Ă©tudiants pour dĂ©velopper des compĂ©tences cruciales Ă  la gestion des conflits et de sĂ©curitĂ© au Burkina Faso. 8 rue Francis de Croisset 75018 Sedogod PARIS, le 29/04/2020 Monsieur Alkassoum MAIGA, Ministre de l’Enseignement supĂ©rieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Objet Plaidoyer pour l’ouverture d’un Centre ou Formation sur l’extrĂ©misme violent dans une UniversitĂ© du Burkina Faso. Monsieur le Ministre, Je suis l’un de vos anciens Ă©tudiants de la sociologie et je vous Ă©cris pour vous faire part d’un plaidoyer universitaire notamment celui de l’enseignement dans nos UniversitĂ©s. Je tiens Ă  prĂ©ciser que je ne remets pas en cause la qualitĂ© de l’enseignement dans nos UniversitĂ©s car j’ai pu bĂ©nĂ©ficier de mes enseignants que je salue au passage, une somme de savoir-faire depuis la premiĂšre annĂ©e de sociologie. Ce message vise Ă  nous faire prendre conscience de la nĂ©cessitĂ© de crĂ©er un Centre ou une Formation de recherche sur l’extrĂ©miste violent dans l’une de nos UniversitĂ©s. Partout dans le monde, l’insĂ©curitĂ© est grandissante et le Sahel y compris le Burkina Faso ne sont pas en marges de ces insĂ©curitĂ©s. Notre pays qui ne s’attendait pas Ă  ces attaques, fut rĂ©veillĂ© le 16 janvier 2016 par une attaque commando faisant une dizaine de morts sur l’avenue Kwame N’Kruma. Depuis cette date, la menace est devenue rĂ©elle et nos habitudes face Ă  cette situation ont changĂ©. Nous avons changĂ© notre maniĂšre de voir et de penser tout en vivant dans la peur et dans la menace quotidienne. Le centre de gravitĂ© a Ă©voluĂ© en passant du Centre vers le Nord puis vers l’Est du pays. Et l’épicentre du terrorisme est en train de se stabiliser dans ces parties citĂ©es faisant des vulnĂ©rabilitĂ©s. Selon Mohamed Ibn Chambas, le Chef du Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel UNOWAS, le nombre de personnes tuĂ©es au Burkina Faso est passĂ© d’environ 80 en 2016 Ă  plus de en 2019. Ce chiffre nous montre Ă  telle enseigne que nous sommes dans une situation mortifĂšre violente. Evidemment que notre gouvernement travaille pour ramener la stabilitĂ© afin que les fils et filles puissent vivre dans l’union, la joie et surtout dans la cohĂ©sion. S’il est vrai que vos actions sont Ă  saluer sur le plan national, pour ma part, en tant qu’étudiant, il me semble utile et important de nous associer dans cette lutte asymĂ©trique qui dĂ©stabilise les activitĂ©s socio-Ă©conomiques et menace notre intĂ©gritĂ© territoriale. Lorsque je dis de nous associer, il n’est pas question ici de nous donner des armes militaires mais de nous donner les moyens scientifiques afin de produire des rapports, de faire des analyses, des cartographies etc
sur l’évolution de la situation sĂ©curitaire comme bons nombres de pays le font dĂ©jĂ . Le conseil des ministres du 11 octobre 2019 s’inscrit dans ce sens lorsqu’il a pris un dĂ©cret portant crĂ©ation, je cite d’ un Centre national d’études stratĂ©giques en dĂ©fense et sĂ©curitĂ© » afin de traiter des problĂ©matiques liĂ©es aux questions de dĂ©fense et de sĂ©curitĂ© au niveau national et international ». De ce fait, il est nĂ©cessaire pour nous de permettre Ă  l’élite de demain de comprendre les logiques conflictuelles car ces logiques s’inscrivent sur une longue durĂ©e et pour le Burkina, nous avons besoin d’une expertise endogĂšne afin de comprendre les Ă©quilibres stratĂ©giques de cette guerre que nous menons contre l’autre invisible qui gagne du terrain. Nous pouvons adapter cette formation qui sera issue des sciences sociales et humaines comme le modĂšle de l’UniversitĂ© du Caire ou ĂȘtre en partenariat avec des instituts de recherche sur la sĂ©curitĂ© ou les conflits. Certains Ă©tudiants maliens et sĂ©nĂ©galais bĂ©nĂ©ficient dĂ©jĂ  de ces partenariats Ă  travers l’octroi des bourses dans les instituts comme ISS institut d’Etude et de SĂ©curitĂ© de Dakar et de Bamako ou dans les UniversitĂ©s Françaises Paris 1 ou Montpellier. Nous n’avons pas une littĂ©rature abondante et fiable pour comprendre ce qui se passe dans notre propre pays. Nous nous referons le plus souvent aux coupures de presse nationale et internationale qui parfois vĂ©hiculent des informations non fondĂ©es. Aussi, cette question est traitĂ©e par des nouveaux acteurs mĂ©diatiques qui se font passer pour des experts et cela contribue Ă  dĂ©velopper parfois des idĂ©es confuses et des mauvais jugements sur la question sĂ©curitaire pouvant aller Ă  la stigmatisation d’un groupe compte tenu de la sensibilitĂ© de la question. C’est face Ă  tous ces constats et conscient que seule la recherche scientifique pourra nous aider que je viens par ce message solliciter votre aide en tant que Premier responsable de la Recherche Scientifique de bien vouloir nous permettre de rĂȘver en mettant en place un Centre enracinĂ© dans une perspective pluridisciplinaire et qui sera orientĂ© vers la comprĂ©hension des logiques conflictuelles actuelles au Burkina. Le PrĂ©sident de la RĂ©publique son Excellence Roch KaborĂ© l’a si bien dit, la rĂ©ponse est sociale pour preuve, nous avons mis en Ɠuvre le Programme d’Urgence Sahel ou le PUS financĂ© Ă  plus de 414,9 milliards de FCFA et nous sommes tous unanimes sur cela Chercheurs, humanitaires, spĂ©cialistes etc.. et si elle est sociale, il convient pour nous en tant qu’acteurs universitaires de comprendre les dynamiques sociologiques, spatiales, et Ă©conomiques des diffĂ©rentes rĂ©gions avant d’apporter la rĂ©ponse car la recherche prĂ©cĂšde les actions Ă  venir j’oubliais que je suis un bĂ©bĂ© qui n’a pas encore grandi face Ă  mon grand-pĂšre scientifique qui a donnĂ© naissance Ă  plusieurs docteurs qui sont devenues mes enseignants aujourd’hui . La production de ces rapports seront utiles pour les ministĂšres de la dĂ©fense, de la cohĂ©sion sociale et pour nous car les rapports peuvent inspirer les Ă©tudiants Ă  comprendre et Ă  s’impliquer dans cette recherche-action sans oublier les hommes de mĂ©dias. Pour terminer, je dirai que nous devrons offrir des outils efficaces aux Ă©tudiants pour dĂ©velopper des compĂ©tences cruciales Ă  la gestion des conflits et de sĂ©curitĂ© au Burkina Faso. Nous devrons former des spĂ©cialistes pour rĂ©pondre avec rigueur et dĂ©termination dans les domaines de la gestion et de la prĂ©vention des conflits ainsi que la cohĂ©sion sociale. Permettons une fois de plus Ă  ces Ă©tudiants de jouer un rĂŽle significatif dans cette lutte qui doit nous rassembler sans distinction socioprofessionnelle. Ces Ă©tudiants peuvent dĂ©montrer leur leadership et le Burkina a toujours eu les meilleurs Ă©tudiants motivĂ©s et engagĂ©s mĂȘme avec des conditions minimales ils arrivent Ă  hisser le drapeau haut. Monsieur le Ministre, permettez-nous d’avoir une perspective actualisĂ©e sur les conflits Ă  partir du Centre ou d’une Formation universitaire. Le contexte actuel nous impose cette vision actualisĂ©e et nous devrons rĂ©orienter nos axes de recherches car depuis 2016, les paradigmes ne sont plus les mĂȘmes, ils ont Ă©voluĂ© donc il s’agit pour nous de questionner ces nouvelles dynamiques et dimensions afin de proposer des stratĂ©gies durables. Je ne dis pas une fois de plus qu’il s’agit de nous focaliser sur cette question au dĂ©triment des autres axes de recherches mais celles-ci mĂ©ritent une attention particuliĂšre. Peut-ĂȘtre que je ne suis pas sur le bon chemin ou encore il existe dĂ©jĂ  une rĂ©flexion sur cette question mais ce n’est qu’un pauvre plaidoyer parmi tant d’autres et je me rĂ©serve sur le fonctionnement administratif du Centre ou de cette Formation qui peut ĂȘtre traitĂ© en amont avec les responsables des formations concernĂ©es en cas d’approbation. Je vous remercie sincĂšrement de votre attention et je vous accompagne dans mes priĂšres pour un jour voir la rĂ©alisation du centre tout en vous adressant un joyeux ramadan. Veuillez agrĂ©er, Monsieur le Ministre, l’assurance de ma haute considĂ©ration. SEDOGO DAOUDA Fonction publique Modification de la loi 013 MBDHP formation des membres de la division femmes et ... Concours "IntĂ©grer en France " Une opportunitĂ© d’accĂšs ... Lutte contre l’excision Les jeunes tirent les couteaux ... Production ancestrale du fer L’évĂ©nement vĂ©cu Ă  Dablo ... RĂ©solution de la crise de l’IDS Le cri du cƓur des ... Le collĂšge Notre Dame de Kologh-Naba fĂȘte ses 50 ... Vente de parcelles Ă  Bogodogo Attention Ă  l’anarque NĂ©gociations SNAID/MinistĂšre des Finances La fin des ... MĂ©decine traditionnelle Jean-Paul Koudougou NikiĂšma, ... Faits divers mĂȘme pour un dos d’élĂ©phant... Dialogue islamo-chrĂ©tien au Burkina Faso une ... Jeunesse unie pour une nouvelle Afrique JUNA Un ... 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9RUE FRANCIS DE CROISSET 75018 Paris . Voir la fiche de l'établissement . Les notes de l'Etudiant pour ce lycée en 2022. Note/20 de l'Etudiant . 15.39 . Note/20 taux de réussite au bac . 18.6

ActualitĂ©s ExtrĂ©misme violent Un Ă©tudiant en sociologie plaide pour la crĂ©ation d’un ... Dans une lettre qu’il a adressĂ©e au ministre en charge de l’enseignement supĂ©rieur, Pr Alkassoum Maiga, le 29 avril 2020, Daouda Sedogo, Ă©tudiant en master 2 de Sociologie Ă  l’universitĂ© Joseph Ki-Zerbo et en master 2 d’étude de dĂ©veloppement Ă  Paris 1, plaide pour la crĂ©ation d’un centre ou une formation de recherche sur l’extrĂ©misme violent dans les universitĂ©s du Burkina. L’auteur de la lettre estime qu’il faut offrir des outils efficaces aux Ă©tudiants pour dĂ©velopper des compĂ©tences cruciales Ă  la gestion des conflits et de sĂ©curitĂ© au Burkina Faso. 8 rue Francis de Croisset 75018 Sedogod PARIS, le 29/04/2020 Monsieur Alkassoum MAIGA, Ministre de l’Enseignement supĂ©rieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Objet Plaidoyer pour l’ouverture d’un Centre ou Formation sur l’extrĂ©misme violent dans une UniversitĂ© du Burkina Faso. Monsieur le Ministre, Je suis l’un de vos anciens Ă©tudiants de la sociologie et je vous Ă©cris pour vous faire part d’un plaidoyer universitaire notamment celui de l’enseignement dans nos UniversitĂ©s. Je tiens Ă  prĂ©ciser que je ne remets pas en cause la qualitĂ© de l’enseignement dans nos UniversitĂ©s car j’ai pu bĂ©nĂ©ficier de mes enseignants que je salue au passage, une somme de savoir-faire depuis la premiĂšre annĂ©e de sociologie. Ce message vise Ă  nous faire prendre conscience de la nĂ©cessitĂ© de crĂ©er un Centre ou une Formation de recherche sur l’extrĂ©miste violent dans l’une de nos UniversitĂ©s. Partout dans le monde, l’insĂ©curitĂ© est grandissante et le Sahel y compris le Burkina Faso ne sont pas en marges de ces insĂ©curitĂ©s. Notre pays qui ne s’attendait pas Ă  ces attaques, fut rĂ©veillĂ© le 16 janvier 2016 par une attaque commando faisant une dizaine de morts sur l’avenue Kwame N’Kruma. Depuis cette date, la menace est devenue rĂ©elle et nos habitudes face Ă  cette situation ont changĂ©. Nous avons changĂ© notre maniĂšre de voir et de penser tout en vivant dans la peur et dans la menace quotidienne. Le centre de gravitĂ© a Ă©voluĂ© en passant du Centre vers le Nord puis vers l’Est du pays. Et l’épicentre du terrorisme est en train de se stabiliser dans ces parties citĂ©es faisant des vulnĂ©rabilitĂ©s. Selon Mohamed Ibn Chambas, le Chef du Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel UNOWAS, le nombre de personnes tuĂ©es au Burkina Faso est passĂ© d’environ 80 en 2016 Ă  plus de en 2019. Ce chiffre nous montre Ă  telle enseigne que nous sommes dans une situation mortifĂšre violente. Evidemment que notre gouvernement travaille pour ramener la stabilitĂ© afin que les fils et filles puissent vivre dans l’union, la joie et surtout dans la cohĂ©sion. S’il est vrai que vos actions sont Ă  saluer sur le plan national, pour ma part, en tant qu’étudiant, il me semble utile et important de nous associer dans cette lutte asymĂ©trique qui dĂ©stabilise les activitĂ©s socio-Ă©conomiques et menace notre intĂ©gritĂ© territoriale. Lorsque je dis de nous associer, il n’est pas question ici de nous donner des armes militaires mais de nous donner les moyens scientifiques afin de produire des rapports, de faire des analyses, des cartographies etc
sur l’évolution de la situation sĂ©curitaire comme bons nombres de pays le font dĂ©jĂ . Le conseil des ministres du 11 octobre 2019 s’inscrit dans ce sens lorsqu’il a pris un dĂ©cret portant crĂ©ation, je cite d’ un Centre national d’études stratĂ©giques en dĂ©fense et sĂ©curitĂ© » afin de traiter des problĂ©matiques liĂ©es aux questions de dĂ©fense et de sĂ©curitĂ© au niveau national et international ». De ce fait, il est nĂ©cessaire pour nous de permettre Ă  l’élite de demain de comprendre les logiques conflictuelles car ces logiques s’inscrivent sur une longue durĂ©e et pour le Burkina, nous avons besoin d’une expertise endogĂšne afin de comprendre les Ă©quilibres stratĂ©giques de cette guerre que nous menons contre l’autre invisible qui gagne du terrain. Nous pouvons adapter cette formation qui sera issue des sciences sociales et humaines comme le modĂšle de l’UniversitĂ© du Caire ou ĂȘtre en partenariat avec des instituts de recherche sur la sĂ©curitĂ© ou les conflits. Certains Ă©tudiants maliens et sĂ©nĂ©galais bĂ©nĂ©ficient dĂ©jĂ  de ces partenariats Ă  travers l’octroi des bourses dans les instituts comme ISS institut d’Etude et de SĂ©curitĂ© de Dakar et de Bamako ou dans les UniversitĂ©s Françaises Paris 1 ou Montpellier. Nous n’avons pas une littĂ©rature abondante et fiable pour comprendre ce qui se passe dans notre propre pays. Nous nous referons le plus souvent aux coupures de presse nationale et internationale qui parfois vĂ©hiculent des informations non fondĂ©es. Aussi, cette question est traitĂ©e par des nouveaux acteurs mĂ©diatiques qui se font passer pour des experts et cela contribue Ă  dĂ©velopper parfois des idĂ©es confuses et des mauvais jugements sur la question sĂ©curitaire pouvant aller Ă  la stigmatisation d’un groupe compte tenu de la sensibilitĂ© de la question. C’est face Ă  tous ces constats et conscient que seule la recherche scientifique pourra nous aider que je viens par ce message solliciter votre aide en tant que Premier responsable de la Recherche Scientifique de bien vouloir nous permettre de rĂȘver en mettant en place un Centre enracinĂ© dans une perspective pluridisciplinaire et qui sera orientĂ© vers la comprĂ©hension des logiques conflictuelles actuelles au Burkina. Le PrĂ©sident de la RĂ©publique son Excellence Roch KaborĂ© l’a si bien dit, la rĂ©ponse est sociale pour preuve, nous avons mis en Ɠuvre le Programme d’Urgence Sahel ou le PUS financĂ© Ă  plus de 414,9 milliards de FCFA et nous sommes tous unanimes sur cela Chercheurs, humanitaires, spĂ©cialistes etc.. et si elle est sociale, il convient pour nous en tant qu’acteurs universitaires de comprendre les dynamiques sociologiques, spatiales, et Ă©conomiques des diffĂ©rentes rĂ©gions avant d’apporter la rĂ©ponse car la recherche prĂ©cĂšde les actions Ă  venir j’oubliais que je suis un bĂ©bĂ© qui n’a pas encore grandi face Ă  mon grand-pĂšre scientifique qui a donnĂ© naissance Ă  plusieurs docteurs qui sont devenues mes enseignants aujourd’hui . La production de ces rapports seront utiles pour les ministĂšres de la dĂ©fense, de la cohĂ©sion sociale et pour nous car les rapports peuvent inspirer les Ă©tudiants Ă  comprendre et Ă  s’impliquer dans cette recherche-action sans oublier les hommes de mĂ©dias. Pour terminer, je dirai que nous devrons offrir des outils efficaces aux Ă©tudiants pour dĂ©velopper des compĂ©tences cruciales Ă  la gestion des conflits et de sĂ©curitĂ© au Burkina Faso. Nous devrons former des spĂ©cialistes pour rĂ©pondre avec rigueur et dĂ©termination dans les domaines de la gestion et de la prĂ©vention des conflits ainsi que la cohĂ©sion sociale. Permettons une fois de plus Ă  ces Ă©tudiants de jouer un rĂŽle significatif dans cette lutte qui doit nous rassembler sans distinction socioprofessionnelle. Ces Ă©tudiants peuvent dĂ©montrer leur leadership et le Burkina a toujours eu les meilleurs Ă©tudiants motivĂ©s et engagĂ©s mĂȘme avec des conditions minimales ils arrivent Ă  hisser le drapeau haut. Monsieur le Ministre, permettez-nous d’avoir une perspective actualisĂ©e sur les conflits Ă  partir du Centre ou d’une Formation universitaire. Le contexte actuel nous impose cette vision actualisĂ©e et nous devrons rĂ©orienter nos axes de recherches car depuis 2016, les paradigmes ne sont plus les mĂȘmes, ils ont Ă©voluĂ© donc il s’agit pour nous de questionner ces nouvelles dynamiques et dimensions afin de proposer des stratĂ©gies durables. Je ne dis pas une fois de plus qu’il s’agit de nous focaliser sur cette question au dĂ©triment des autres axes de recherches mais celles-ci mĂ©ritent une attention particuliĂšre. Peut-ĂȘtre que je ne suis pas sur le bon chemin ou encore il existe dĂ©jĂ  une rĂ©flexion sur cette question mais ce n’est qu’un pauvre plaidoyer parmi tant d’autres et je me rĂ©serve sur le fonctionnement administratif du Centre ou de cette Formation qui peut ĂȘtre traitĂ© en amont avec les responsables des formations concernĂ©es en cas d’approbation. Je vous remercie sincĂšrement de votre attention et je vous accompagne dans mes priĂšres pour un jour voir la rĂ©alisation du centre tout en vous adressant un joyeux ramadan. Veuillez agrĂ©er, Monsieur le Ministre, l’assurance de ma haute considĂ©ration. SEDOGO DAOUDA De quoi les poudres de lait que l’on trouve partout sur ... Burkina Faso Le ministĂšre de l’Enseignement supĂ©rieur ... CohĂ©sion sociale et Paix Les leaders religieux et ... Dori Atelier sur la promotion de l’éducation Ă  la ... Avis de recherche BANDAOGO Bassira couramment appelĂ©e ... Elevage Burkina Dry More renforce les capacitĂ©s de 100 ... UniversitĂ© Joseph Ki Zerbo L’UGEB appelle Ă  la ... Burkina Trois ans aprĂšs, les corps de Fahadou CissĂ© et ... Menace sur le lait local en Afrique de l’ouest ... Tabagisme au Burkina Le tabac tue 4 800 personnes par ... Gestion des frontiĂšres du Burkina L’intĂ©gritĂ© du ... Disparition d’enfants au Burkina L’Institut des ... Architecture DiĂ©bĂ©do Francis KĂ©rĂ© prĂ©sente la mĂ©daille ... Burkina L’ISSP organise une formation en communication ... Promotion de l’excellence dans l’enseignement supĂ©rieur ... Burkina Assassinat de Fahadou CissĂ© et Hama Balima, ... DĂ©dougou Une grosse pluie accompagnĂ©e de vent fait ... OpĂ©ration Mana Mana » La banque UBA rĂ©pond Ă  l’appel ... Direction gĂ©nĂ©rale de la LONAB Emmanuel DĂ©sirĂ© ... Le gĂ©nie civil et la gĂ©otechnique avec Lucien Tonde SantĂ© oculaire L’ONG Light for the World offre une ...

8r Francis De Croisset, 75018 Paris. Itinéraires. Enregistrer. Position sur la carte, horaires, adresse, téléphone Modifier les infos sur PagesJaunes et Mappy. Source : Pages Jaunes. Autres propositions à proximité. Simon Yves. 9 r Simart, 75018 Paris + d'infos. Assoubay Mohamed. 10 r Stéphenson, 75018 Paris. Ouvert jusqu'à 20h + d'infos. Shehata Andro. 4 all
INVITATION // Projection Si c’est ça le destin Centre Pompidou CinĂ©ma 1 Une proposition de la BPI / La cinĂ©mathĂšque du documentaire RĂ©alisĂ© par Helga Reidemeister RDA RĂ©publique dĂ©mocratique allemande, 1979, couleur Irene Rakowitz, 48 ans, divorcĂ©e, mĂšre de quatre enfants, invalide et sans emploi, vit dans un logement social du MĂ€rkisches Viertel. Elle raconte son dĂ©sespoir, ses conflits avec ses enfants et son mari, son dĂ©sir de s'assurer enfin une vie indĂ©pendante. La cinĂ©aste l'accompagne dans son questionnement sur la
 Invitation / Trop tard !
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