Ilétait une fois en Amérique - version intégrale. américain Réalisé par Sergio Leone avec Robert De Niro, James Woods. Drame. Ce film n'a pas été vu. par Télérama. Sortie le 16 mai 1984 Drame, Policier 4h11 De Sergio Leone Avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth McGovern Synopsis En 1920, dans le Lower East Side, le quartier juif de New York, un adolescent, Noodles, vit de petites rapines avec ses copains Cocky, Patsy et Dominic. Survient un cinquième mousquetaire, Max, qui plus déterminé, prend en mains la petite bande. Au cours d'un règlement de comptes avec une autre bande, Noodles venge l'assassinat de Cocky en tuant le chef rival, Bugsy. Il est incarcéré. 1930. A sa sortie de prison, Noodles est accueilli par ses amis, devenus prospères grâce à la prohibition. Quand cette dernière est abolie, Max nourrit des projets très ambitieux il veut réunir des fonds en braquant la banque d'Etat. Noodles dénonce ses amis Sortie le 16 mai 1984 Drame, Policier 4h11 De Sergio Leone Synopsis En 1920, dans le Lower East Side, le quartier juif de New York, un adolescent, Noodles, vit de petites rapines avec ses copains Cocky, Patsy et Dominic. Survient un cinquième mousquetaire, Max, qui plus déterminé, prend en mains la petite bande. Au cours d'un règlement de comptes avec une autre bande, Noodles venge l'assassinat de Cocky en tuant le chef rival, Bugsy. Il est incarcéré. 1930. A sa sortie de prison, Noodles est accueilli par ses amis, devenus prospères grâce à la prohibition. Quand cette dernière est abolie, Max nourrit des projets très ambitieux il veut réunir des fonds en braquant la banque d'Etat. Noodles dénonce ses amis Ce film n'est plus à l'affiche. Vous pourriez également aimer... UGC Culte Voir la bande annonce Séances Inscrivez-vous dès maintenant ! Je souhaite recevoir l'actualité cinéma et les meilleures offres UGC. Renseignez votre cinéma favori pour tout savoir sur les films à l’affiche. Votre adresse email sera utilisée pour vous transmettre les emails Bons plans UGC » et à des fins statistiques, et ce uniquement par les services internes d'UGC CINÉ CITÉ et les sociétés en lien avec UGC CINÉ CITÉ pour la réalisation de la prestation. La communication de votre adresse email est facultative pour poursuivre votre navigation. Vous pouvez vous désinscrire, à tout moment, en cliquant sur le lien de désabonnement de votre email. Le responsable de traitement est UGC CINÉ CITÉ – SAS au capital de euros – 24 avenue Charles de Gaulle – 92200 Neuilly-sur-Seine – RCS DE NANTERRE Conformément à la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 Informatique et Libertés », modifiée en 2004, vous bénéficiez d'un droit d'accès, de rectification, de suppression, d'opposition, de limitation, de portabilité des données vous concernant, ainsi que de la possibilité de fournir des directives quant au sort des données après le décès en adressant votre demande par courrier à UGC Ciné Cité, Service Client, 24 avenue Charles de Gaulle, 92200 Neuilly-sur-Seine ou par mail à l'adresse suivante serviceclient Votre adresse email sera conservée pour une durée de 48h à compter de votre demande de désabonnement aux Bons plans UGC ».. UGC Direct Toutes vos séances sont là ! UGC illimité Abonnez-vous pour profiter de toutes les séances chez UGC et dans plus de 400 autres salles en France ! Découvrir les offres UGC illimité Abonnez-vous pour profiter de toutes les séances chez UGC et dans plus de 400 autres salles en France ! Découvrir les offres
Unfilm à multiples tiroirs sur les thèmes développés (le gangstérisme, l’amitié, la trahison, la rédemption, l’amour, et la sexualité) mais aussi des tiroirs dans le temps (l’adolescence, la jeunesse, et la vieillesse). Sans parler d’une fin a double énigme inoubliable. Un film nostalgique sur l’Amérique et ses rêves
synopsis Il était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant quelques années derrière les barreaux, puis se recouper en pleine période de prohibition, dans les années vingt. Jusqu'au jour où la trahison les sépare à nouveau. 13EMEPARTIE "Il était une fois en Amérique (Once upon a Time in America) est le dernier film réalisé par Sergio Leone, sorti en 1984. Il est adapté du roman The Hoods de Harry Grey." SYNOPSIS : David Aaronson, dit « Noodles », vieil homme las et solitaire, revient à New York et se souvient. Il contemple d’un regard dur, désabusé et pourtant sage et apaisé sa
Le 05/06/2014 à 1757 Par Plus de deux ans après sa projection aux festivals de Cannes et de Bologne, la version longue, dite "restaurée", d'Il était une fois en Amérique de Sergio Leone refait aujourd'hui la Une de l'actualité. En effet, le site nous apprend aujourd'hui que Warner Video a fixé au 30 septembre la sortie du tant attendu Blu-Ray américain qui proposera une version inédite de ce chef d'oeuvre intemporel, sorti en 1984. Inédite, oui, car ce Blu-Ray devrait proposer pour la première fois le montage de 269 minutes du film 4h29 donc, disposant de 40 minutes de plus que la version "normale" celle actuellement disponible en Blu-Ray et de 20 minutes de plus que la version projetée à Cannes en 2012 et disponible en Blu-Ray italien depuis novembre 2012. UPDATE finalement, le communiqué de la Warner était inexact. La version proposée sur ce Blu-Ray sera bien celle de Cannes, d'une durée de 251 minutes. Contrairement à cette édition transalpine, le Blu-Ray américain proposera une piste VF Dolby Digital et des sous-titres français pour accompagner la piste anglaise proposée en DTS-HD Master Audio Si rien n'est encore officiel pour le moment, on espère que ce Blu-Ray américain disposera d'une image entièrement remasterisée, où les nouvelles scènes se fondent parfaitement parmi les anciennes ce qui n'était pas le cas dans la version projetée à Cannes et présente sur le BR italien. Si l'on s'en réfère au site Forgotten Silver, c'est justement pour corriger ce soucis d'image et également de son que l'éditeur a mis autant de temps avant de sortir cette version restaurée. Croisons les doigt pour ce que soit bien le cas !
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Film de Sergio Leone 3 h 49 min 23 mai 1984 FranceGenres Drame, GangsterCasting acteurs principaux Robert De Niro, James Woods, Elizabeth McGovern, Joe Pesci, Burt Young, Tuesday Weld, Treat Williams, Danny AielloGroupes Il était une fois en Amérique, Il était une foisPays d'origine Italie, États-UnisBande originale Once Upon a Time in America Original Motion Picture SoundtrackCasting complet et fiche techniqueIl était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant quelques années derrière les barreaux, puis se recouper en pleine période de prohibition, dans les années vingt. Jusqu'au jour où la trahison les sépare à nouveau. Je me demande comment on peut ne pas aimer ce ultime d'un grand cinéaste ; indispensable pour tout cinéphile, fascinant pour tout public, mémorable pour les âmes sensibles... La force du...10“I like the stink of the streets. It makes me feel good”.La dernière image du film, le sourire de Noodles sur qui l’opium commence à faire son effet, est absolument déchirante. Au bout de 4h10 d’un film qui visite 60 ans de la vie d’un homme, le spectateur...Lire la critique5Il était une fois une déceptionIl y a des fois où ça n'accroche pas. Tout vous échappe, rien ne semble coller, vous avez l'impression de ne pas parler la même langue que le cinéaste. Vous avez beau reconnaître les qualités...Lire la critique10Intemporel testament mélancoliqueUltime œuvre de Sergio Leone, il consacra douze années de sa vie pour ce testament, notamment pour préparer le scénario adapté du livre "The Hoods" de Harry Grey. Il nous fait suivre le destin de...Lire la critique8il était une fois , un monument est né ...Techniquement parlant, Il était une fois en Amérique » se présente comme une apothéose de virtuosité atteignant les sommets du septième art . Rapidement, Leone va bouleverser le code narratif...Lire la critique10Brumes et PluiesLe temps passe. Facilement, il se confond et perd sa structure. Les souvenirs, regrets et joies se mélangent et forment un dédale infini. Les époques se recoupent, se font écho. Elles s'entrelacent...Lire la critique10Sergio Leone + Ennio Morricone = chef-d'œuvreLe dernier volet de la trilogie "Il était une fois..." est juste un chef-d'œuvre. Un film de près de 4h où l'on suit une petite bande de truands juifs soudée par une forte amitié. Noodles Robert De...Lire la critiqueRecommandéesPositivesNégativesRécentes
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Ilétait une fois en Amérique, Film de Sergio Leone avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth McGovern. Il était une fois 2 truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié. Ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant quelques années derrière les barreaux.
Écrans & TV 3 minutes à lire Publié le 04/03/22 mis à jour le 07/03/22 Partager Il était une fois en Amérique », de Sergio Leone 1984. Warner Bros Le film de Sergio Leone, diffusé ce dimanche 6 mars sur Arte, relate les souvenirs d’un ancien gangster plongé dans le trafic d’alcool pendant les années de prohibition. Analyse de la séquence du meurtre du tout jeune Dominic, scène capitale et bouleversante sur fond de flûte de Pan. Longtemps considéré comme l’inventeur d’un genre divertissant mais mineur baptisé non sans un brin de mépris western spaghetti », Sergio Leone dut attendre la sortie d’Il était une fois en Amérique pour être regardé d’un meilleur œil par une certaine critique obstinée à ne voir en lui qu’un démythificateur. Embrassée dans sa totalité, l’œuvre n’est pourtant que symboles et archétypes, merveilleux et grotesque, incessants miroitements entre passé et présent, tragédie, fantasme et bouffonnerie le langage même des mythes. Il était une fois les “gueules” de Sergio Leone Comme ceux d’Eisenstein, de Welles ou de Kubrick, les films de Leone se déroulent à la lisière du rêve, du bizarre et de l’invraisemblable tout en approchant des vérités éternelles. Bien sûr, cela ne va pas sans quelque déconstruction du faux ordinaire, de la réalité » prémâchée ; le réel brut ne surgira qu’au prix de cette cruauté. La séquence centrale d’Il était une fois en Amérique, celle où tout bascule, en est la parfaite illustration. Elle s’ouvre sur un plan large composé comme un tableau. Deux rangées d’immeubles en briques encadrent une rue quasi déserte. De la fumée sort d’un sol détrempé. Au fond, massif, imposant, le pont de Manhattan opère une trouée bleu-gris sur les teintes marron, ocre et rouge foncé. Ce n’est pas un canyon de l’Ouest américain, mais cet espace n’est pas moins mythique. Ici, les hommes, venus de la mer, ont bâti en hauteur, cru toucher à l’éternité. Et c’est bien ce que les cinq gamins qui traverse nt le cadre pensent avoir eux aussi atteint. Le rêve américain, sortir de la misère, manipuler l’argent, dominer la Babel de verre et de métal, égaler les dieux. Mais ces petits gars vêtus comme les gangsters à la dernière mode ont endossé des habits trop grands pour eux. Et oublié que les dieux réclament toujours un sacrifice. Le plus jeune d’entre eux, Dominic, danse et virevolte, s’échappe à droite, tandis que Cockeye littéralement, Œil de bite » l’accompagne de sa flûte de Pan. Des voitures, des charrettes apparaissent. Le pays se construit encore, oscillant entre la vieille Europe et une modernité rutilante. Deux policiers à cheval lorgnent le groupe, qui ralentit un peu. On a beau arpenter le pavé en se balançant à la manière des durs, on reste des gosses qui craignent le coup de bâton. La menace passée, Dominic poursuit sa course et, se détachant des autres, s’élance dans un tunnel. Soudain, il se fige. Silence et flûte de Pan Une silhouette se dirige vers lui, bouchant l’issue, fermant son destin. À toute allure, l’enfant revient vers Maxie, Cockeye, Patsy et Noodles en criant Bugsy comin’ ! Run ! » En contrechamp, les quatre amis s’arrêtent, hébétés. Bugsy, leur rival, leur avait déjà cassé la gueule. Cette fois, il vient pour tuer. Bref silence. Seconde interminable. Et soudain, la flûte de Pan reparaît avec un autre thème d’Ennio Morricone, tragique, très haut perché. On croit entendre un oiseau de malheur, voir battre les ailes de l’épouvante. s Bravo Il était une fois en Amérique Sergio Leone Le plan est l’un des plus beaux de l’histoire du cinéma. Au ralenti, les cinq enfants fuient vers la caméra et s’efforcent de se cacher. En retard, Dominic demeure seul au milieu de la rue quand retentit le premier coup de feu. Il s’effondre, touché au dos. Noodles se précipite et le traîne à l’écart, le pont monumental toujours dressé, indifférent, à l’arrière-plan. Dominic ouvre un œil, prononce Noodles, I slipped » Noodles, j’ai dérapé » et meurt. Image de pietà, aucun ange n’a été envoyé pour arrêter la main sacrificielle posée sur l’enfant. Capture d’écran du plan sur Noodles qui soutient encore le petit garçon sans vie. Warner Bros / Capture d'écran Contreplongée sur Noodles, qui soutient encore le petit garçon sans vie. Image de pietà. Aucun ange n’a été envoyé pour arrêter la main sacrificielle posée sur l’enfant. Tout a été affaire de regard, des flics sur les enfants, des enfants découvrant l’assassin, de celui-ci visant le plus faible d’entre eux, de Dominic à Noodles qui, ne sachant plus où poser ses yeux, se trouve dépossédé en un instant de son enfance et de son innocence. Bientôt, lui aussi va tuer. Avant le tout dernier plan du film, on ne le verra plus rire, plus jouir, à peine vivre. Se hisser jusqu’à l’Amérique impliquait la perte du corps et de l’âme. Le reste du parcours de Noodles ne sera que destruction, errances fantomatiques et erreurs tragiques, solitude sans remède. Il n’y a de mythes qu’inaccessibles. Mais en l’attestant, le cinéma de Sergio Leone offre en consolation la nostalgie et la pitié, la beauté des images, des sons, des expressions. Et restitue un peu de ce paradis perdu notre humanité. À voir r Il était une fois en Amérique, de Sergio Leone, dimanche 6 mars à 21h05 sur Arte. Partager Contribuer Unvéritable chef-d’œuvre. Avec Il était une fois en Amérique (1984), le cinéaste conte les destins tragiques de deux gosses du quartier juif de New York au début des années 1900. À découvrir
Il était une fois en Amérique Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Bande-annonce Séances 1 Streaming VOD Spectateurs 4,5 22481 notes dont 831 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Interdit aux moins de 12 ans A New York, à la fin de la prohibition, Noodles se réfugie dans une fumerie d'opium après un coup qui a mal tourné. Plus de trente ans plus tard, il est de retour en ville et se remémore son passé de gangster de sa jeunesse de voyou dans les années 20, marquée par sa rencontre avec son ami Max et leurs nombreux trafics dans le ghetto juif de la ville, jusqu'à la période de prohibition où leur bande, liée par une profonde amitié, s'enrichit et marque son ascension dans la pègre grâce au commerce illégal d'alcool. Noodles se rappelle aussi de sa relation amoureuse échouée avec Deborah durant toute sa vie. Une oeuvre crépusculaire dense et sublime, ultime volet de la célèbre trilogie de Sergio Leone et dernier film incontournable du cinéaste dans sa version longue Regarder ce film En SVOD / Streaming par abonnement Amazon Prime VideoAbonnement Disney+Abonnement Voir toutes les offres de streaming Orange Location dès 2,99 € VIVA Achat dès 11,99 € HD PremiereMax Achat dès 11,99 € HD Voir toutes les offres VODService proposé par Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Séances Soustons Bande-annonce 151 Interviews, making-of et extraits 5 vidéos Dernières news 30 news sur ce film Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critique Presse Cahiers du Cinéma France Soir L'Express Les Inrockuptibles Libération Positif Télérama Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 8 articles de presse Critiques Spectateurs Ultime oeuvre de Sergio Leone, son testament dont il consacra douze années de sa vie, notamment pour préparer le scénario adapté du livre "The Hoods" de Harry Grey. Il nous fait suivre le destin de Noodle sur trois époques différentes, régulièrement lié à trois amis dont Max et un amour pour Deborah qu'il a rencontre lors de sa jeunesse. Ultime testament qui fut pourtant massacré à sa sortie, notamment par les producteurs américain ... Lire plus Un rêve. Et si tout cela n'était qu'un rêve ? Comment le définir autrement ? Leone lui-même avait précisé à un spectateur curieux que son film commençait et se terminait dans une fumerie d'opium... Ce qui signifie que durant près de 4 heures, nous n'avons peut-être observé qu'un fantasme démesuré. En tout cas, c'est vraiment ce que j'ai ressenti. Il avait rebaptisé l'oeuvre "il était une fois un certain cinéma" en expliquant que ... Lire plus Waouw, waouw, waoux... "C'est géant" ! Je ressors du troisième visionnage de cette oeuvre et c'est toujours la première chose qui me traverse l'esprit dès que survient le générique de fin, mais c'est aussi une impression, celle d'avoir vu passer toute une vie ou bien des vies! en 225 minutes... Sergio Leone, réalisateur italien, a déjà consacré la plupart de ses autres films à l'histoire américaine, filmographie hélas bien courte ... Lire plus Cela faisait longtemps que je voulais voir ce film, mais, et ne me l'explique pas vraiment, j'ai retardé l'échéance de plus en plus, en attendant le moment où je n'en pourrai plus d'attendre et que je ne puisse pas voir un autre film que "Il était une fois en Amérique". Mais, ce faisant, je risquais d'être déçu, après tout le temps que j'ai attendu pour voir ce film, après tout le bien qu'on m'a dit sur celui-ci, vous ne pouvez pas ... Lire plus 831 Critiques Spectateurs Photos 15 Photos Secrets de tournage 3e volet d'une saga américaine Sergio Leone signe ici le troisième volet d'une saga portant sur plusieurs périodes clés de l'histoire américaine. Le premier opus, Il était une fois dans l'Ouest, se situait à l'époque de la conquête de l'Ouest. L'action du deuxième épisode, Il était une fois la révolution, se déroulait en pleine révolution mexicaine, tandis que Il était une fois en Amérique clôture cette trilogie en revenant sur la Prohibition et l'avènement du gangstérisme. Une partition inoubliable La bande originale d' Il était une fois en Amérique est l'oeuvre d' Ennio Morricone, complice habituel de Sergio Leone, pour qui il a écrit cette partition mélancolique plus d'une dizaine d'années avant le début du tournage et qui, au terme d'une longue maturation, est devenu l'un des plus grands classiques de la musique de film. Le testament de Sergio Leone Il était une fois en Amérique est le dernier film de Sergio Leone. En 1989, l'année de sa mort, le réalisateur travaillait sur un projet de long métrage portant sur le siège de Leningrad. 22 Secrets de tournage Infos techniques Nationalités Italie Distributeur Carlotta Films Récompenses 2 prix et 9 nominations Année de production 1984 Date de sortie DVD 31/07/2003 Date de sortie Blu-ray 11/01/2011 Date de sortie VOD 31/01/2016 Type de film Long-métrage Secrets de tournage 22 anecdotes Budget 30 000 000 $ Date de reprise 06/05/2015 Langues Anglais Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa - Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
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Il nous fait suivre le destin de Noodle sur trois époques différentes, régulièrement lié à trois amis dont Max et un amour pour Deborah qu'il a rencontre lors de sa jeunesse. Ultime testament qui fut pourtant massacré à sa sortie, notamment par les producteurs américain il n'y a qu'en France où le montage de Leone sera respecté qui en modifient la narration et le coupe d'environ deux heures. Et pourtant... Que dire de cette immense et magnifique fresque ? Qu'entre autre, ici le mot "Cinéma" prend tout son seconde, chaque plan, cadre ou image, sont d'une telle beauté, émotion et richesse durant ce voyage intemporel à travers trois époques. D'une justesse d'écriture, "Il était une fois en Amérique" revient sur le destin de Noodle à travers sa jeunesse où il était avec une bande de gamin aussi débrouillarde qu'attachante, durant l'époque de la prohibition où il devient un gangster respecté et enfin lors de sa vieillesse et d'un retour sur les terres où il a grandit. Leone évoque son amour de jeunesse qui va le suivre toute sa vie, une relation faite d'attente, de déception, de cruauté et d'amour qu'il rend tour à tour touchante et naïve lorsqu'ils sont jeunes puis cruelle par la suite. Il s'attarde aussi sur les relations d'amitié qu'il nouera avec les gamins avec qui il a grandit et notamment Max, une tête brûlée qu'il admire lorsqu'il est jeune. Les personnages, leurs évolutions et les relations qu'ils entretiennent sont traités avec justesse, subtilité et passion. Chaque personnage est approfondi et révèle au fur et à mesure du film ses parts d'ombres et de lumières. A travers le destin des personnages, Leone traite de l'amour, de l'amitié, la trahison, la loyauté, de la vie et des dilemmes qu'elle nous propose ou encore de l'amertume et du regret. Séparé sur trois époques, elles sont toutes passionnantes, que ce soit la jeunesse où Leone capte à merveille les sentiments enfantins, leurs naïvetés et leurs visions de la vie, sachant les rendre particulièrement attachant, innocent et attendrissant, l'âge d'or de la prohibition ou la vieillesse. L'histoire est, tout le long passionnante, nous emmenant vers des horizons parfois inattendus dont on peut chacun y interpréter certains éléments ce qu'avait d'ailleurs dit Leone à James Woods "A quoi ça servirait de faire du cinéma si c’est pour tout expliquer ?" et judicieusement traitée à travers un montage ingénieux. Le film est long et le rythme plutôt lent mais tellement passionnant. Il ne laisse strictement rien au hasard, chaque plan est intelligemment choisi et ses cadres sont régulièrement truffés de détails et d'idées. Il braque souvent sa caméra au plus près des personnages et en fait ressortir toute l'émotion et la dramaturgie à l'image des scènes de danses de Déborah enfant observé en cachette par Noodle, des différentes séquences de vies, de joies instantanés, de profondes tristesses, d'amitiés ou même de simples regards. Il signe une oeuvre forte et mélancolique, accentuée par une magnifique bande originale signée Ennio Morricone, composée bien avant le tournage. Souvent présente, elle colle toujours parfaitement à l'image et son envoûtante flûte de paon est inoubliable. D'ailleurs Leone avait déclaré que Morricone n'était pas son musicien mais son scénariste, cette phrase prend ici tout son sens. Mais Leone sait aussi utilisé d'autres musiques comme en témoignage l'une des premières scènes avec "Yesterday" en fond sonore. Il nous fait voyager à travers différentes époques notamment grâce à une reconstitution réaliste et grandiose. Que ce soit les rues avec la fumée qui y ressort, les architectures ou les intérieurs, il a le sens du détail et se fait méticuleux. Robert DeNiro trouve là l'un de ses plus grands rôles. Il retranscrit à merveille toute la vie de Noodles son amour, ses amis et ses échecs. D'une sobriété exemplaire, il en fait ressortir toute l'émotion. Face à lui, James Woods est magistral, dans ce qui est l'un de ses plus grands rôles. Les jeunes acteurs sont naturels et touchants, tout comme Elizabeth signe un ultime film, un testament intemporel, mélancolique, magnifique et envoûtant. Un film sur la vie, ses dilemmes, sa cruauté, sa nostalgie ou encore sa recherche du temps perdu, un film où chaque seconde est riche et chargée d'émotion. C'était dans le cadre du revisionnage de certains films que je n'avais pas eu l'occasion de revoir depuis mon inscription sur SC Note inchangée et toujours en tête de mon top 10 et ce n'est pas près de changer, une oeuvre qui m'a profondément marqué. Un rêve. Et si tout cela n'était qu'un rêve ? Comment le définir autrement ? Leone lui-même avait précisé à un spectateur curieux que son film commençait et se terminait dans une fumerie d'opium... Ce qui signifie que durant près de 4 heures, nous n'avons peut-être observé qu'un fantasme démesuré. En tout cas, c'est vraiment ce que j'ai ressenti. Il avait rebaptisé l'oeuvre "il était une fois un certain cinéma" en expliquant que c'était la dernière fois qu'on verrait une oeuvre de ce genre. C'est splendide, il n'y a pas de mots assez forts pour souligner l'ampleur et la réussite du travail d'un géant qui aura consacré 15 ans de sa vie à mettre au monde son bébé. Et ça saute aux yeux la perfection est omniprésente et les images les plus belles mais aussi les plus troublantes sont à mon avis celle de la ville ancienne, recouverte de nuages de fumée, où Noodles et ses acolytes ont fait leurs premiers pas. De Niro est sublime dans ce qui s'apparente comme peut-être le meilleur rôle, en tout cas le plus abouti de sa fructueuse carrière. Idem pour le metteur en scène. Quand à la célebrissime musique de Morricone, elle est à ranger au panthéon des meilleures bandes-son de toute l'histoire du cinéma ! L'émotion se fait ressentir à chaque instant et le spectateur est transposé comme rarement dans ce monde à part, du rêve, qu'est cette boîte à images et souvenirs qu'on appelle le cinéma. Nostalgique et émouvant mais pas larmoyant, réalisé avec la maîtrise des plus grands, interprété tout en sobriété et subtilité, comportant des passages inoubliables, c'est une des oeuvres les plus admirables qui m'ait jamais été donné l'occasion de voir. Waouw, waouw, waoux... "C'est géant" ! Je ressors du troisième visionnage de cette oeuvre et c'est toujours la première chose qui me traverse l'esprit dès que survient le générique de fin, mais c'est aussi une impression, celle d'avoir vu passer toute une vie ou bien des vies! en 225 minutes... Sergio Leone, réalisateur italien, a déjà consacré la plupart de ses autres films à l'histoire américaine, filmographie hélas bien courte la conquête de l'Ouest américain dans "Il était une fois dans l'Ouest", la guerre de Sécéssion dans "Le bon, la brute et le truand" à savoir que ces deux films sont également deux films sur l'opposition de deux ou plusieurs personnages, la Révolution mexicaine dans "Il était une fois la Révolution" que je n'ai toujours pas regardé à l'heure actuelle, honte à moi ! , tandis que "Il était une fois en Amérique"... traite tellement de sujets. C'est un film qui parle de l'enfance, de l'amitié masculine, de l'opposition, le gangstérisme, et tout cela pendant la Prohibition, période noire dans laquelle la mafia s'est développée... L'histoire prend place dans trois différentes époques de la vie de David Aaronson, alias Noodles, de son enfance jsuqu'à l'âge adulte entouré de ses amis Patsy, Cockeye, Dominic, Fat Moe et du mystérieux Maximilien, Noodles travaille pour Bugsy, trafiquant dans le quartir juif de New York dans lequel ils vivent. A côté, il est amoureux de Deborah, la soeur d'un de ses amis. Suite à un conflit opposant la bande de Noodles à celle de Bugsy, Dominic, le garçon le plus jeune de la bande, est tué par Bugsy, et Noodles par vengeance le tue à son tour avec un gendarme, ce qui lui vaudra la prison pour dix ans. Sorti de prison, il retrouve Max et le reste de sa bande et s'unissent pour commettre différentes affaires pour Joe et Frank Minoldi, parrain de la Mafia. Enfin, parallèlement, le film montre la vieillesse de Noodles, ses troublantes retrouvailles avec Max après près de 35 ans de silence, et ses adieux et ses retrouvailles avec Deborah, la femme de sa vie... Mais Max pourra-t-il renouer l'amitié entretenue avec Max, son ami de toujours? Quel secret celui-ci lui cache-t-il? Tout d'abord, "Il était une fois en Amérique" est un film très symbolique. "Il aura fallu 15 ans au metteur en scène du légendaire 'Il était une fois dans l'ouest' pour réaliser ce film" disent-ils... Si vous vous rappelez bien, de mon impression au début de ma critique, c'est-à-dire celle d'avoir suivi une vie entière pendant 3h45 ; il s'agit de l'oeuvre testament de Sergio Leone, celle à laquelle il a consacré une grosse majorité de son existence, qu'il a travaillé et retravaillé jusqu'à trouver le résultat final, celui de la Perfection, avant qu'il ne trouve la mort tandis que parallèlement, il préparait un projet sur le siège de Léningrad, une autre grande partie de l'histoire américaine. L'intrigue de ce monument s'étend de l'adolescence du personnage magistralement intérprété par Robert DeNiro et de ses amis, témoins attentifs et railleurs de tout ce qui se passe autour d'eux, jusqu'à la majorité, à partir de laquelle commencent à disparaître tous ceux qui faisaient sa vie, à commencer par son amour de jeunesse, Deborah, interprétée par Elizabeth McGovern, qui s'en ira à Hollywood pour devenir comédienne et qui ne la reverra que 35 ans plus tard, ainsi qu'à la trahison de son ami de toujours Max, interprété par James Woods ayant changé d'identité après s'être fait passé pour mort ; l'intrigue est une succession d'événements fatals lancée dès la première demi-heure, et même avant que celle-ci s'achève on sait déjà que la suite va être du lourd et en effet, dès le retour en arrière sur Noodles espionnant Deborah en train de danser , celui-ci ne fera que le confirmer. Même si les 30 premières minutes du film sont un peu lentes on ne peut s'empêcher de lâcher l'écran, puisque visuellement, gros point fort, on atteint la perfection que ce soit dans la beauté des décors, les tenues des personnages, les différents environnements la cultissime photographie du groupe de jeunes gens devant le pont de Manhattan ou encore la scène de la mort de Dominic au ralentit, survenant juste après le plan du pont. Brrr j'en ai eu des frissons ! ^^ Mais aussi, le film en lui-même est le symbolisme des différentes étapes de l'existence et de la déchéance morale à laquelle le héros est confronté. Ensuite, la distribution d'acteurs est d'une indéniable qualité Robert DeNiro en grande forme, aussi adulte que plus âgé, un James Woods d'abord confiant puis peu à peu inquiétant, Elizabeth McGovern, Joe Pesci,... Leone réalise une véritable prouesse et met toujours très bien leurs visages en valeur et prouve que le langage non verbal, c'est à dire le regard peut apporter encore davantage d'émotion. Sinon, les enfants sont tout aussi convaincants ! Ils sont conformes à leurs alter-égos, aussi bien physiquement que mentalement. Il s'agit également du premier rôle de Jennifer Connelly, interprète de Deborah enfant, avant d'être popularisé par la suite par "Labyrinthe", "Requiem for a dream" ainsi qu'"Un homme d'exception". Enfin, le film contient bon nombre de répliques marquantes, et parfois mêmes des passages drôles celui de la femme se faisant passer pour morte dans le corbillard, dans lequel Max ramène son ami sorti de prison. Mais ce qui marque avant tout dans le film, c'est la claque auditive que nous offre le grand Ennio Morricone, un atout majeur du film ; car non seulement elle est sublime la plus belle perle de son compositeur, même bien au dessus de celles du "Bon, la brute et le truand" et "Il était une fois dans l'Ouest à mon goût, mais en plus on a beau entendre les quelques mêmes thèmes tout le long du film, on n'est lassé d'elles à aucun moment ! Car en plus de privilégier l'émotion visuelle, on y privilégie surtout l'expression des sentiments à travers la musique ! DeNiro, onze ans après le second volet du "Parrain" et huit après son rôle de charismatique chauffeur de taxi dans "Taxi Driver", réussit à nous livrer un personnage intéressant, attachant et émouvant, rien qu'avec la puissance de la musique et du visuel. Voilà j'en avais tellement à dire sur ce film qui est assurément l'un de mes préférés. Merci à tous ceux qui ont eu le courage de parvenir à bout de ce pavé, pour conclure, "Il était une fois en Amérique", dernier chef d'oeuvre de Sergio Leone est une oeuvre d'une puissance incroyable. 15 ans de préparation afin de nous prouver son immense talent et l'étendue de son génie à travers cette oeuvre poétique et intense ! Un grand moment de cinéma, allez-y les yeux fermés. Cela faisait longtemps que je voulais voir ce film, mais, et ne me l'explique pas vraiment, j'ai retardé l'échéance de plus en plus, en attendant le moment où je n'en pourrai plus d'attendre et que je ne puisse pas voir un autre film que "Il était une fois en Amérique". Mais, ce faisant, je risquais d'être déçu, après tout le temps que j'ai attendu pour voir ce film, après tout le bien qu'on m'a dit sur celui-ci, vous ne pouvez pas imaginer les espoirs que je portais en ce film! Je pensais passer un moment inoubliable, je pensais que ce film allait entrer dans le classement très fermé de mes films préférés... Eh bien c'est le cas!Le film dure presque quatre heures, mais c'est encore trop court! La meilleure partie, et il n'y a absolument aucun doutes là dessus, c'est celle durant laquelle Noodles et les autres sont enfants... Quelle poésie, quelles images, quelle photographie, quelle musique, quel scénario, quels acteurs,... Et ça, ça vaut pour tout le film, pas seulement pour cette si je ne devais retenir qu'une seule scène du film, ça serait le plan large sur le groupe d'enfants heureux déambulants dans les rues de New-York, puis à un moment, le plus jeune se détache du groupe et esquisse quelques pas de juste fabuleux!Et, en plus d'avoir un scénario en béton, Sergio Leone réussit tout de même à nous faire douter de ce que l'on a vu durant 3h30, après une scène finale ambigüe... Je ne m'y attendais pas du tout! La notion de rêve ou de vison est très rare dans ce genre de film, et je pense que ça donne une dimension encore plus énorme à ce Chef d' ne m'étendrais pas plus sur ce film, parce que si je commence à explique tout ce que j'ai ressenti, tout ce que j'ai pensé du film, on en a pour la nuit!Je terminerais tout simplement en disant que Sergio Leone signe ici un des film les plus beau, touchant, intriguant et parfait de tout les temps!A voir et à revoir, ne craignez surtout pas la longueur du film, on ne s'ennuie jamais! "Il était une fois en Amérique"... Ah, qu'est-ce que ce film m'a fait rêver... Ici, Sergio Leone ne se contente pas de nous donner une leçon de Cinéma, son film c'est LE Cinéma !!! On passe par toutes les émotions, c'est parfaitement maîtrisé, aucune longueurs -pourtant, il dure plus de 3 heures 40 !-, casting 5 étoiles prodigieux, photo ultra-convaincante, et surtout, la mythique, phénoménale, extraordinaire, rien au monde ne pourrait définir la musique d'Ennio Morricone, qui signe ici sa plus belle bande-originale ! Sorti 13 ans après "Il était une fois la révolution", ce troisième film de la trilogie du "il était une fois..." s'avère être le long-métrage le plus abouti de Sergio Leone. Il sort de son genre de prédilection, et pourtant, c'est un magnifique coup de génie qu'il livre avec "Once upon a time in America" ! De Niro y est majestueux, dans l'un de ses plus grands rôles pourtant, il y en a pléthore !. Sa prestation est troublante de réalisme, ultra-crédible, c'est le summum du jeu d'acteur, la perfection incarnée !!! Il incarne Noodles, un gangster Juif en pleine prohibition et le même Noodles, mais 30 ans plus tard, revenant dans son quartier, le "ghetto" juif de New York, sur les traces de son adolescence, de son ascension dans le "milieu", de ses hantises, de son amour d'enfance... Le film est, en plus d'être passionant, super bien conçu, avec un scénario hors normes et parfaitement écrit. La mise en scène de Leone, qui renouvelle son style, est juste inimmitable, spectaculaire, grandiose ! Ce film m'a littéralement envoûté, pour moi, il retrace mon amour pour le Cinéma... C'est ce qui explique qu'il fasse partie de mes films préférés, c'est un film de référence, à la fois culte et mythique. Sûrement l'un des meilleurs films de gangster de tous les temps, the best avec "The Godfather"... Et même l'une des plus grandes oeuvres cinématographiques depuis l'invention du septième art ! Plus qu'un film de gangster, Leone livre une épopée, une saga, un monument, une vraie oeuvre d'art ! Certains plans feraient d'excellents tableaux... Une fois que la musique de Morricone vous rentrera dans la tête, que vous jubilerez rien que par la présence de De Niro, que vous assisterez aux plans parfaits et iréels de Leone, les mots Cinéma et Cinéphile prendront alors tous leurs sens... En un mot sublime ! Si je pouvais lui mettre 6 étoiles, je le ferais. Pour moi le plus beau film de gangster jamais fait. Quand il s'est arrêté j'avais vraiment l'impression d'avoir vu un film pas comme les autres, un grand moment de cinéma. Certains critiquent le fait qu'il est long 3H40, mais je trouve que c'est essentiel à l'histoire et sans ça le film serait impossible à comprendre. Le thème du rapport à l'enfance perdue est vraiment très touchant notamment lorsqu'on retrouve De Niro qui se rappelle de son enfance. L'expression de l'acteur est très émouvante. Pour moi, c'est le plus beau rôle qu'il ait eu à jouer. Et que dire de la réalisation de Sergio Leone le maître du western n'en déplaise à certains tous les détails sont absolument parfait. C'est un niveau de perfectionisme que l'on retrouve uniquement dans le parrain. Le rythme très lent du film nous permet justement de faire passer les émotions mais également de s'imprégner totalement de l'environnement des personnages. Quand on sait que Leone a mis 13 ans de réflexion pour réaliser ce film, on comprend mieux le résultat. Une mention spéciale également à James Wood mais aussi à ceux qui jouent le rôle des enfants qui sont vraiment excellents. Un grand film,tout simplement. Il était une fois en Amérique est une très grande expérience de cinéma, originale, émouvante et réaliste. Ce qui fait la force du film est pour moi le récit dans le désordre chronologique c'est osé, compréhensible et ça ne gène pas le moins du monde ! La reconstitution est incroyable on voit New York à trois époques, remplie de figurants, avec à chaque fois les mentalités bien retranscrites. Les costumes sont très la réalisation, Leone nous prouve qu'il est un virtuose de la caméra elle est juste parfaite ! Le scénario, quand à lui, est magnifique, juste incroyable le film dure quand même 3H40 et JAMAIS je ne me suis ennuyé, il n'y a aucune longueur ! Sur ça, je dis juste chapeau ! A vrai dire,ça m'a même semblé court à certains moments et j'en redemande encore ! J'espère voir un jour cette fameuse version de plus de 4 heures présentée à Cannes. L'histoire est excellente, nous présentant une belle histoire d'amour enfin belle...pas à tous les moments mais les scènes ou Noodles observe Déborah danser sont juste somptueuses et une très grande et plutôt triste histoire d'amitié. A vrai dire, le film nous montre à quel point certains choix ou envies peuvent détruire l'amour ou l'amitié. Concernant les acteurs, c'est du sans faute aussi De Niro est magistral et nous offre une de ses meilleures performances d'acteurs et des grand rôles, il en a fait, c'est dire ! . James Woods est également impressionnant, très très convaincant et les seconds rôles sont géniaux il y a Joe Pesci, quand même ! . Concernant la musique d'Ennio Morricone, elle est MAGNIFIQUE ! Très mélancolique et nostalgique. Le seul problème, c'est qu'il n'y a que quatre thèmes je crois qu'on entend dans le film, et elles sont un peu trop utilisées à l'excès, c'est dommage ! Mis à part ça, Il était une fois en Amérique est parfait, une sorte de film de gangster fusionné au drame. C'est juste immanquable ! 5/5. Il était une fois un génie. Un génie trop tôt disparu. Un génie qui ne laissera derrière lui que 6 films magistraux, dont fait parti ce "Il était une fois en Amérique". Leone abandonne le western qu'il souhaitait déjà quitter avec "Il était une fois dans l'Ouest" pour se consacrer à cet autre territoire sauvage et inexploré de l’Amérique la prohibition. Et il s'y prend bien le bougre, il s'y prend telement bien qu'il en deviens, en plus d’être déjà un pilier du western italien, un monument incontournable du cinéma. Tout d'abord, Sergio Leone s'est toujours montré extrêmement minutieux dans la conception de ses scénarios. "Il était une fois en Amérique" n'échappe pas à la règle. Très aboutit, il met en scène différentes époques de l’Amérique, les années 1920, 1930 et 1960. Certes c'est long, mais c’est si limpide, si vertueusement assemblé, que le film s'écoule sans que l'on s'en aperçoive. L'importance que Leone consacre à ses personnages se ressent également. Il consacre une bonne partie du film à les présenter, à travers un décor de New York en construction et plus en général, d'une Amérique en construction. Si les années 1930 montrent l'age d'or de la bande, les années 1920 montrent sa fondation, à travers la présentation des personnages et le décor donc, mais aussi à travers la ruse dont font preuve les jeunes garçons ruse qui s'illustrera lorsqu’ils seront adultes . Cette partie du film est de loin ma préférée, car la mise en scène et surtout les costumes sont si magnifiques que les images à elles seuls offrent un spectacle des plus sublimes, outre l'aspect passionnant de l'époque que Leone n'oublie pas non plus de valoriser grâce à sa réalisation toujours aussi parfaite. C'est simple, et cela vaut pour tout le film, chaque plan relève de l’œuvre d'art tellement la mise en scène est soignée et la photographie de qualité. En témoigne d'ailleurs cette fabuleuse scène où le plus jeune de la bande se fait tuer, qui combine astucieusement la réalisation de Leone action au ralentit avec en arrière plan le pont de Manhattan et la mise en scène le costume de l'enfant qui se fait tuer . Le film s'illustre également par sa narration particulièrement originale et spéciale. Leone jongle ainsi avec les flashback avec tellement de talent que l'on a aucun mal à suivre le déroulement de l'histoire. L'histoire de Noodles et de sa bande, tous magistralement interprétés notamment par Robert de Niro qui livre ici l’une de ses meilleurs prestations. Je disais tout à l'heure que Leone portait une attention toute particulière à ses personnages notamment en plaçant bien son intrigue et ses personnages. Mais c’est surtout dans leur développement qu'ils acquièrent une importance capitale. Il n'y a aucun manichéisme, chaque protagoniste a ses parts d'ombres et de lumières, Noodles a un certain code de l'honneur envers ses camarades mais cela ne l’empêche pas de violer la femme qu'il désire, laquelle il est vrai se montre particulièrement insupportable et sadique. Les personnages sont si développées et la narration si réussie que l'on en viens, tout comme Noodles, à se remémorer les années de jeunesse de ce dernier, non sans nostalgie. Un plan en particulier illustre ce phénomène. Quand, lorsque Noodles se remémore son ami max, Leone nous montre un flashback de ce dernier, plus jeune, à son arrivée à New York. Cette scène, qui interviens à la fin du film, nous renvoie donc au début du film, lequel est assez long, le souvenir de cette scène date donc déjà de plusieurs heures, d'où cette sensation de nostalgie. Enfin, Ennio Morricone nous signe encore ici une musique sublime, dont une s'inspirant de "Yesterday" le titre très connu des fameux "Beatles"; quand je vous parlais de nostalgie....Bref, d'une qualité esthétique remarquable, "Il était une fois en Amérique" se révèle donc être un chef d’œuvre, le dernier chef d’œuvre malheureusement de l'un des plus grands piliers du cinéma Sergio Leone. "Once upon a time in America" est le testament cinématographique de Sergio Leone, qui signe son chef-d'oeuvre absolu. Une oeuvre d'une ambition et d'une ampleur quasi-inégalables, portée par le talent de conteur inouï du cinéaste et un casting d'exception les mots manquent pour saluer le génie de De Niro. Le film est tellement sublime que je n'ai pas spécialement envie de l'analyser, de décrypter ses multiples interprétations possibles Noodles délirerait-il son avenir sous l'emprise de l'opium ?. Je préfère me laisser envoûter par sa narration obsédante, ses époustouflants morceaux de bravoure la mort de Dominic au ralenti est toujours aussi grandiose et la partition de Morricone, absolument déchirante. Leone l'utilise avec une virtuosité confondante, n'hésitant pas à rendre son film le moins bavard possible pour renforcer l'intensité de tout ce qui se dit, tel l'inoubliable "Your mother is calling you", adressé deux fois par Deborah à Noodles. Le plus admirable dans tout ceci est que la stupéfiante maîtrise de chaque scène n'est jamais écrasante puisque l'immense sensibilité de Leone imprègne son oeuvre d'une émotion indélébile. Pour finir, un mot sur la version de 4 h 11 exhumée récemment les scènes supplémentaires, plutôt belles, n'y sont pas décisives et alourdissent même un rien l'ensemble. Les 3 h 49 connues de tous sont donc idéales pour apprécier cette épopée somptueusement élégiaque qui constitue un sérieux prétendant au titre de plus grand film jamais réalisé. Sergio Leone a marqué le Cinéma au fer rouge avec seulement sept films. Sept films dont trois intemporelles trilogies qui ont aussi bien bouleversé le western que transcendé le 7e Art. Ainsi, 13 ans après Il était une fois la Révolution, le réalisateur italien signe l'ultime film de sa trilogie qui, après le far west et la révolution mexicaine, se penche sur une autre période importante de l'histoire américaine la prohibition dans les années 30. Et quand on sait que Leone a refusé de mettre en scène Le Parrain pour se consacrer à ce qui sera son ultime film, on imagine déjà ce qu'il aurait pu faire de l'adaptation du roman de Mario Puzo... Un an de tournage, 30 millions de dollars dument dépensés, trois rues entières reconstituées pour l'occasion et un tournage aux quatre coins du monde pour une épopée humaine longue et intense qui reste définitivement ancrée dans les mémoires. D'une durée de 3h35, le film ne se regarde pas, il se contemple, Leone parvenant à transcender chaque plan, chaque séquence, nous faisant constamment oublier la durée évidente du métrage. Scindée en trois parties le passé / l'enfance, le présent / l'âge adulte et le futur / la vieillesse, l'histoire s'intéresse à la vie tumultueuse d'une bande de gosses des rues qui, au fil des années, vont voir leur existence vouée au grand banditisme et tout ce qui s'en suit. Car comme pour tous les grands gangsters, chaque montée a sa chute et celle de l'entreprise Bercovicz & Associés dirigée par Max Bercovicz James Woods dans son plus beau rôle et Noodles Aaronson Robert De Niro, plus imposant que jamais n'y échappe pas. Le montage, peu conventionnel, entremêle sans prévenir les trois époques et instaure un suspense inattendu qui nous happe du début à la fin pour ne jamais faiblir. Quant au reste du film, on a affaire à du grand Sergio Leone décors plus vrais que nature, photographie impeccable, musique enivrante toujours signée Ennio Morricone, cadrages parfaits, rythme soutenu chaque séquence est tout bonnement culte et bien entendu direction d'acteurs à toute épreuve pour un long-métrage bouclant à la fois une trilogie épique mais également la carrière d'un des plus grands réalisateurs qu'il soit, Il était une fois en Amérique étant aussi bien l'un des drames historiques les plus magnifiques du 7e Art que l'un des meilleurs films sur le grand banditisme. Une merveille inlassable et indispensable sublimée d'année en année. Que dire alors que tout a déja été dit. Et bien 3h40 de CINEMA, mais le cinéma à l'état pur, majestueux, passionnant, émouvant, envoutant. Pour son dernier film, Sergio Leone signe un chant du cygne d'une beauté indescriptible. Les 220 minutes du film passent comme si il n'y en avait que 75, et c'est même assez triste que l'on voit le générique apparaitre. Il était une fois en Amérique est aussi une fresque somptueuse, d'un grand lyrisme et en même temps une oeuvre désenchantée, une Amérique aussi belle que triste parfois. A l'image de l'afrontement final, entièrement psychologique et en dialogues, un face à face majestueux entre deux acteurs au sommet de leur art, Robert De Niro et James Woods. Et on n'est pas prêt d'oublier le regard de Jennifer Connelly regardant son amour d'enfance après avoir lu "Le Cantique des Cantiques". Bouleversant. Magnifique film de Sergio Leone, peut être même le meilleur ? Dernier volet de sa trilogie d' "Il était une fois..." et dernier chef-d'œuvre du défunt réalisateur. L'histoire prend place dans une Amérique révolue du Far West pour laisser place au milieu des gangster juifs de New York mené par l'excellent Robert De Niro. Et comme on ne change pas une équipe qui gagne, Morricone est à nouveau de le chef d'orchestre de ce magnifique film. Je considère ce film comme un monument du cinéma. 5/5 Il était une troisième fois un chef d'oeuvre signé ou commencer ?Robert deNiro juste magistral, James Woods fabuleux, Elizabeth McGovern, Treat Williams, Tuesday Weld, William Forsythe sont géniaux !Burt Young et Joe Pesci sont exceptionnel même si ils n'ont que deux petits acteurs incarnant la bande de voyous jeunes sont d'une ressemblance folle avec les acteurs une fois grand, le casting n'a pas était fait à la va vite cela se voit !Les décors et les costumes sont criant de vérité, juste éblouissant, les immeubles, les voitures, les pardessus, les chapeaux, les meubles et bien d'autres sont oublier les maquillages qui sont juste musique est sublime, en total osmose avec l' scénario est absolument excellentissime, 3h39 de film et absolument aucun ressenti d' finir, la mise en scène et la réalisation c'est du Leone, donc c'est juste, c'est puissant, c'est de la précision, c'est du travail, c'est vrai, c'est parfait !Sergio Leone finit sa carrière sur une pure bombe atomique du cinéma ! le meilleur film que j'ai vu à ce jour ! Robert De Niro signe ici son plus grand rôle , le film nous transporte dans une fresque magnifique et sublime ! Le film est une superbe recomposition des Etats - Unis . Sergio Leone achève sa carrière de cinéaste avec un chef d’œuvre incontournable ! Plus qu’un simple film, c’est toute une vie qui s’écoule sous nos yeux 4h10 d’images en même temps. "Il était une fois en Amérique" c'est de véritables moments de vie décrits avec intensité, c'est également une époque retranscrite à merveilles, mais plus que ça, c'est un cinéma qui nous fait voyager. Avec sa réalisation exceptionnelle, ses acteurs monstrueux De Niro & Woods y sont impressionnants, son excellente composition musicale signée Ennio Morricone, et son scénario d'une richesse hors-norme, Sergio Leone apporte aux films de gangsters, un véritable modèle du genre ! Tout est parfaitement orchestré, jusqu'à ce casting, où les acteurs trouveront une parfaite ressemblance au fil des années. Quant à la petite Jennifer Connely, qui trouvait ici son premier rôle, n’aura pas bougé d'un poil en 30 ans, c'est impressionnant à quel point on la reconnaît parfaitement. "Il était une fois en Amérique" n'a pas seulement l’allure d’un grand classique, c'en est un ! Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse Toutesles vidéos de Il était une fois en Amérique. Il était une fois en Amérique. Il était une fois en Amérique - 17 décembre. Eugénie Grandet. Abonnez-vous 21h05 dimanche 06 mars Il était une fois en Amérique7777 Drame de Sergio Leone 1984 Avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth McGovern, Joe Pesci, Burt Young, Treat Williams, Danny Aiello, Tuesday Weld, Richard Bright, James Hayden, William Forsythe, Darlanne Fluegel, Larry Rapp, Richard Foronjy, Robert Harper, Dutch Miller, Gerard Murphy, Amy Ryder, Olga Karlatos, Mario Brega, Ray Dittrich, Frank Gio, Karen Shallo, Angelo Florio, Scott Schutzman Tiler, Rusty Jacobs, Brian Bloom, Adrian Curran, Mike Monetti, Noah Moazezi, James Russo, Frankie Caserta, Joey Marzella, Clem Caserta, Frank Sisto, Jerry Strivelli, Julie Cohen, Marvin Scott, Mike Gendel, Paul Herman Pays de production Etats-Unis - Italie Durée 3h40mn / Résumé De 1920 à 1968, aux États-Unis. La destinée d'un gangster, sa jeunesse délinquante dans le quartier juif de New York, son séjour en prison après le meurtre d'un rival, son ascension fulgurante pendant la Prohibition, son amour impossible pour une femme, et les circonstances qui le poussèrent à trahir ses complices. Si vous avez manqué le début New York, décembre 1933. Trois tueurs à la solde du syndicat du crime recherchent activement Nathan Aaronson, dit Noodles. Ils ont pour mission de lui faire payer la trahison qui vient de coûter la vie à Max, Patsy et Cockeye, ses complices et anciens compagnons de jeunesse. N'ayant pu obtenir le moindre renseignement de son épouse Eve, abattue sur-le-champ, les trois hommes s'en prennent ensuite à Fat Moe et le rouent de coups, connaissant les liens étroits que ce patron de bar clandestin entretient avec Noodles. Pour s'épargner des souffrances inutiles, Moe leur indique que Noodles se cache dans une fumerie d'opium. Deux des tueurs s'y rendent tandis que le troisième garde un œil sur Moe. Mais Noodles réussit à leur fausser compagnie et à délivrer Moe après avoir tué son geôlier. Il se rend ensuite à la gare et retire de la consigne une valise qui contient la cagnotte secrète de la bande. Il n'y trouve que de vieux journaux. Il prend alors le premier train en partance et gagne ainsi Buffalo. Trente-cinq années ont passé... Fatigué, vieilli, Noodles revient à New York après avoir reçu un message sibyllin, l'invitant à se rendre sur les tombes de Max, Patsy, et Cockeye. Il y retrouve Moe qui tient un restaurant casher et a reçu la même invitation... Clin d'oeil Sergio Leone offrit à Jennifer Connelly son premier rôle dans l’ultime volet de sa trilogie Il était une fois… À 14 ans, on reconnaît l’actrice de Blood Diamond et Noé dans la première partie du film où elle joue Deborah adolescente. Le casting de Il était une fois en Amérique Sergio Leone Réalisateur Robert De Niro Noodles James Woods Maximilian 'Max' Bercovicz Elizabeth McGovern Deborah Gelly Joe Pesci Frankie Burt Young Joe Treat Williams Jimmy O'Donnell Danny Aiello Police Chief Aiello Tuesday Weld Carol Richard Bright Joe James Hayden Patsy William Forsythe Cockeye Darlanne Fluegel Eve Larry Rapp Fat Moe Richard Foronjy Whitey Robert Harper Sharkey Dutch Miller Van Linden Gerard Murphy Crowning Amy Ryder Peggy Olga Karlatos la femme dans le théâtre de marionnettes Mario Brega Mandy Ray Dittrich Trigger Frank Gio Beefy Karen Shallo Mrs. Aiello Angelo Florio Willie the Ape Scott Schutzman Tiler Young Noodles Rusty Jacobs David / Young Max Brian Bloom Young Patsy Adrian Curran Young Cockeye Mike Monetti Young Fat Moe Noah Moazezi Dominic James Russo Bugsy Frankie Caserta Bugsy's Gang Joey Marzella Bugsy's Gang Clem Caserta Al Capuano Frank Sisto Fred Capuano Jerry Strivelli Johnny Capuano Julie Cohen Young Peggy Marvin Scott Interviewer Mike Gendel Irving Gold Paul Herman Monkey Les bandes-annonces de Il était une fois en Amérique Infos sur le programme Interdit aux moins de 16 ans / Couleur / STEREO / 169 - Sous-titrage Malentendant / HD Ence moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2 les forums Forum Blabla 18-25 ans Topic un film ^+ NOSTALGIQUE qu'Il était une fois en Diffusé dimanche 6 mars 2022 à partir de 20h55 sur Arte, le film culte Il était une fois en Amérique est le dernier de la carrière de Sergio Leone. Télé Star vous dévoile aujourd'hui pourquoi le cinéaste n'a plus jamais tourné d'autres au cinéma en 1984, le film culte Il était une fois en Amérique, réalisé par Sergio Leone, sera rediffusé dimanche 6 mars 2022, à partir de 21h05 sur la chaîne franco-allemande Arte. Porté par Robert De Niro, James Woods et Elizabeth McGovern, ce long-métrage raconte, de la prohibition aux années 60, 45 ans des vicissitudes dramatiques du mafieux David Aaronson dit "Noodles", incarné à l'écran par Robert de Niro. Avec ses amis, il est passé du miséreux ghetto juif de son enfance aux plus hautes sphères du crime organisé de New long-métrage est devenu culte au fil du temps, il fut cependant un véritable gouffre financier à l'époque. C'est bien simple, Il était une fois en Amérique n'a amassé que 2,5 millions de dollars de recettes sur le sol américain, ce qui est extrêmement faible comparé à son investissement total, qui se situe entre 30 et 40 millions de dollars. En fait, le tournage de ce film a duré plus d'un an, ce qui a eu pour effet de faire exploser le budget de production, qui était estimé à seulement 3 millions de dollars. Pour expliquer l'échec de ce long-métrage outre-Altantique, il faut savoir que Sergio Leone avait passé un contrat avec les studios Warner, s'engageant ainsi à livrer un film de était une fois en Amérique Sergio Leone déprimé par les coupures de la Warner sur son filmCependant, après avoir constaté que le résultat final durait 4h25, le studio demanda au producteur Arnon Milchan de procéder à de nombreuses coupes pour respecter ce qui avait été décidé au départ. Les Américains euront donc droit à une version tronquée de seulement 2h19, beaucoup moins intéressante que la version intégrale dont ont bénéficié les Européens. Non seulement le long-métrage est quasiment réduit de moitié, mais tout est replacé dans un ordre chronologique dénaturant le film. Il fut ainsi évincé de la cérémonie des Oscars, étant donné que la décision de la Warner fit scandale à l'époque. Par ailleurs, ce choix a tellement déprimé Sergio Leone qu'il n'a plus tourné de film jusqu'à sa mort en 1989. Cependant, le cinéaste italien travaillait sur un projet de long-métrage portant sur le siège de Leningrad l'année de sa disparition. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités © WARNER BROS 2/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © WARNER BROS 3/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © WARNER BROS 4/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © EMBASSY INTERNATIONAL PICTURES 5/12 - WILLIAM FORSYTHE, JAMES HAYDEN, JAMES WOODS ET ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONE WILLIAM FORSYTHE JAMES HAYDEN JAMES WOODSROBERT DE NIRO © WARNER BROS 6/12 - SERGIO LEONE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONESERGIO LEONE © WARNER BROS 7/12 - SERGIO LEONE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONESERGIO LEONE © WARNER BROS 8/12 - ROBERT DE NIRO ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEROBERT DE NIRO © WARNER BROS 9/12 - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUEDE SERGIO LEONE © WARNER BROS 10/12 - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUEDE SERGIO LEONE © WARNER BROS 11/12 - SERGIO LEONE ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONESERGIO LEONE © WARNER BROS 12/12 - JAMES WOODS ONCE UPON A TIME IN AMERICA IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE DE SERGIO LEONEJAMES WOODS
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