Le traitement des cartes de crédit est coûteux. La surtaxe» permet aux commerçants de récupérer une partie du coût en transmettant des frais aux clients au point de vente. Cependant, certains États américains interdisent la surtaxe. L’un de ceux-ci était le Kansas. Mais un tribunal de district américain a récemment annulé l’interdiction imposée par l’État du Kansas. Le Colorado, le Massachusetts et le Connecticut sont désormais les seuls États à interdire les surtaxes. Dans cet article, je vais vous expliquer la surcharge. Je vais aborder les règles et les avantages et les inconvénients pour les commerçants qui souhaitent appliquer des frais supplémentaires comme moyen de récupérer les frais de traitement des cartes de crédit. Surcharge Des frais supplémentaires peuvent être appliqués aux transactions avec carte présente en magasin et carte non présente commerce électronique. Le supplément est généralement égal aux frais de traitement de la carte du commerçant, mais il peut être inférieur. Supposons qu’un client paie un achat en ligne de 100 $ avec une carte de crédit. Les frais de traitement typiques pour cette transaction seraient d’environ 3,10 $. L’application d’un supplément permettrait au commerçant de récupérer les frais afin que le client paie 103,10 $ au lieu de 100 $. La surcharge est loin d’être parfaite. Cela ne résout pas le problème du traitement coûteux. Il ne fait que répercuter ces frais sur les clients. Beaucoup refuseront de le payer. Cependant, les surtaxes sont courantes dans certaines industries, telles que les organismes de bienfaisance, les collèges et les entités gouvernementales. La surcharge est réglementée par les marques de cartes – Visa, Mastercard, American Express et Discover. Les entreprises qui ne respectent pas ces règles enfreignent leurs accords de traitement des marchands et risquent d’être expulsées des réseaux de cartes. De plus, les surtaxes peuvent nuire à la réputation d’un commerçant car les abus sont généralement dénoncés sur les réseaux sociaux! Des règles Voici un résumé des règles de surtaxe des marques de cartes. Informer le client. Les commerçants doivent informer les clients que des frais supplémentaires peuvent être perçus. Une note enfouie dans les termes et conditions n’est pas suffisante. Les magasins physiques doivent afficher une signalisation claire à l’entrée du magasin et au point de vente. Les marchands de commerce électronique doivent clairement identifier et expliquer le supplément et l’afficher en tant qu’élément de campagne distinct. Limitez le montant. Le supplément ne doit pas dépasser 4 pour cent du prix d’achat. Aucun profit. Un commerçant ne peut pas bénéficier d’un supplément. Les frais peuvent couvrir les frais de traitement, mais pas plus. Utilisez une seule transaction. Le supplément et l’achat doivent être traités dans la même transaction par carte de crédit, et non séparément. Soumettre des transactions distinctes dérouterait de nombreux clients lorsqu’ils recevraient leurs relevés. Éléments de campagne séparés. Le reçu doit afficher le supplément clairement et en tant qu’élément de ligne distinct. Cartes de crédit uniquement. Les commerçants ne peuvent pas appliquer de supplément aux transactions par carte de débit. Avantages, inconvénients Les commerçants doivent peser les avantages du recouvrement des frais de carte de crédit par rapport à la possibilité de perdre des clients et de nuire à la réputation de l’entreprise. Un problème supplémentaire est la dépense. Les suppléments ne sont pas gratuits. Les fournisseurs de services marchands facturent généralement des frais pour le service.
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Sous réserve de respecter le parcours de soins passage par le médecin traitant, le bénéficiaire de la CMU-C couverture maladie universelle complémentaire et ses ayants-droits sont dispensés de régler le ticket modérateur ce qui reste à payer par le malade après prise en charge de la sécurité sociale au titre des soins remboursables ainsi que le forfait hospitalier prix journalier de l’hébergement en cas d’hospitalisation. La CMU-C prend également en charge certains dépassements de tarifs lunettes, prothèses dentaires, prothèses auditives. Concrètement, le bénéficiaire de la CMU-C n’a pas à faire l’avance des frais chez le médecin, le pharmacien, ou au laboratoire d’analyses on dit qu’il bénéficie du tiers payant. Seule condition présenter sa carte vitale ou une attestation de droit à la CMU-C. Pour les lunettes et les prothèses dentaires, il n’y a pas non plus d’avance de frais à effectuer dans la mesure où les produits fournis sont ceux du barème spécifique à la CMU-C. Au-delà , le dépassement est à régler par le patient. Important La participation d’un euro sur les actes médicaux et les franchises sur les boîtes de médicaments ne s’applique pas aux bénéficiaires de la CMU-C.Choisirvotre compte. Pour faciliter la gestion quotidienne de votre budget, même à distance, nous vous proposons des offres avec de nombreux services qui s'adaptent à vos besoins et à votre mode de vie. Si vous souhaitez l'ouverture d'un compte seul, contactez un conseiller. Contacter un conseiller Devenir client.
Le décret encadrant l’émission et l’utilisation des cartes à puces pour le paiement des repas partiellement payés par les employeurs vient d’être publié au Journal Officiel. Une bonne nouvelle? A en croire, Serge Ragozin, l'un de ses promoteurs, le patron de la société Moneo Resto, qui s'appuie sur les résultats d'un sondage, 71% des salariés sont favorables à cette carte. Il n'est pas certain qu'ils soient aussi nombreux après la lecture de cet article. Le décret paru ce vendredi 7 mars est le fruit de longs mois de discussions entre les pouvoirs publics et les grands groupes qui émettent des tickets restaurants en France Edenred, Sodexo, Chèque Déjeuner, Natixis Intertitres et les deux nouveaux venus, déjà spécialisés dans les solutions sans papier Moneo Resto et Resto Flash. Comme ces deux derniers opérateurs l’ont prouvé depuis déjà longtemps, l’utilisation de cartes ou même le paiement avec un smartphone, n’étaient pas interdits par la loi, mais les quatre acteurs historiques souhaitaient que l’Etat arbitre et soutienne le "grand saut" des 3,5 millions d’utilisateurs vers les tickets dématérialisés. Car tout à coup, ces nombreux Français qui sont de fervents adeptes des tickets et qui en ont en permanence dans leur portefeuille, vont s’apercevoir qu’ils ne vont plus pouvoir les utiliser de la même façon. Peu d'avantages Du côté des changements, il y a des bons côtés. Si la carte est perdue il est possible de faire opposition et d’en recevoir une autre. La sécurité est optimale car un code secret est obligatoire pour l’utiliser. Jusqu’à présent les tickets perdus ou volés, n’étaient pas remboursés, c’était une perte sèche pour le détenteur. On estime que la perte pourrait s’élever aujourd’hui à 80 euros par an et par utilisateur. La simplification va être aussi très appréciée par les directions des ressources humaines et les services comptables des entreprises. Plus besoin de distribuer des carnets à chaque collaborateur, ni de compter chaque mois, le nombre de titres qui lui revient. La saisie et la mise à disposition sera aussi simple que la gestion des autres lignes du bulletin de salaire. Mieux encore, selon les professionnels, les frais de gestion seront suffisamment réduits pour que le titre restaurant puisse faire son entrée dans les TPE, un marché peu exploré par les opérateurs jusqu’à présent. Beaucoup d'inconvénients En revanche, les utilisations plus ou moins légales, mais très largement acceptés et pratiqués vont devenir impossibles. Il faut noter que la plupart de ces limitations existent déjà de longue date, mais que quasiment personne ne s’en souciait. Les professionnels sont très inquiets car ils soupçonnent que ce sont avant tout ces pratiques qui ont fait le succès des titres restaurants en France. Quelques exemples il ne sera plus possible d’utiliser plus de deux tickets par repas, même si l’on a envie d’inviter un collègue ou un ami. C’est bien dommage pour la convivialité et ce geste tellement apprécié entre collègues qui consiste à dire "je serais ravi de vous inviter". Impossible également de compter sur la complaisance d'un restaurateur pour les utiliser le dimanche. Seuls les salariés qui travaillent ce jour-là auront le droit d'utiliser ce moyen de paiement pour régler leur déjeuner. Impossible également de les utiliser pour régler partiellement les courses de la semaine au supermarché à l'exception des plats cuisinés, produits laitiers, fruits et légumes toujours officiellement payables avec des titres restaurant impossible de les céder à ses enfants, son conjoint ou toute autre personne. Les nombreux mendiants que l’on croise dans nos rues ou dans le métro parisien, avaient l’habitude de recevoir bien souvent un ticket restaurant dans leur sébille. Pour eux, le passage à la carte, sera très cruel. Mais le pire, c’est que l’arrivée des cartes à puce, fait aussi des mécontents chez les restaurateurs. Plusieurs d’entre eux ont déjà créé des collectifs pour se plaindre des conditions tarifaires exigées par les émetteurs de titres. Ils s’inquiètent aussi des conditions d’utilisation. Les terminaux de paiement dont ils disposent vont vite surchauffer car le paiement par la "carte resto" déclenche un appel vers un centre automatisé de gestion. A l’heure de pointe, les clients vont s’impatienter. D’autre part, les restaurateurs, qui sont bien ceux qui vont payer le plus, signalent aussi qu’ils auront aussi des frais de télécommunication supplémentaires. Les restaurateurs vont payer Enfin, le côté le plus ironique de la nouvelle donne c’est que du côté des émetteurs de titres, la dématérialisation ne sera pas une bonne affaire. C’est peut-être pour cela qu’ils ont tant tardé à la mettre en place en France alors qu’ils la pratiquent avec bonheur depuis plusieurs années dans la plupart des autre pays où ils opèrent également. Ainsi, la trésorerie, appelée le "float" par les émetteurs, qui était entre leurs mains entre le moment où les entreprises leur achetait les tickets et celui où les restaurateurs demandaient à se les faire payer, va fondre comme neige au soleil. Alors que le délai moyen de paiement était de 3 à 5 semaines, il va passer à quelques jours. Ces entreprises qui gagnaient une bonne partie de leurs revenus en faisant fructifier ce float, vont devoir trouver d’autres ressources. Voilà pourquoi les restaurateurs vont devoir passer à la caisse, bien obligés d’accepter les cartes que leurs clients vont désormais dégainer. On va leur imposer des commissions bien supérieures à celles que les émetteurs de titres papier leur imposaient. Il est en effet impensable de faire payer les salariés ou leur employeur. Aujourd’hui les entreprises peuvent changer de fournisseur d’un mois sur l’autre et la concurrence est telle entre les tickets restaurants que les sociétés employant plus de salariés n’ont aucune commission à payer pour obtenir des tickets restaurants. Plus étonnant encore, plusieurs groupes français ont même obtenu récemment des commissions négatives c’est à dire que c’est l’émetteur des tickets qui paie son client pour avoir le droit de lui fournir les titres de ses salariés. Il se rembourse ensuite aisément en faisant payer les restaurateurs.Vous êtes nombreux depuis quelques temps, à vous poser des questions sur la fameuse Dématérialisation des tickets restaurant », alors quid de ce terme barbare ?? Tout d’abord il convient de préciser que c’est une décision gouvernementale, contents ou non les partenaires sociaux seront consultés et leur avis [et donc le vôtre] …. ben on s’en fout …. à qui profite le crime ?? » Le 7 mars dernier, un décret paru au Journal officiel permettait l’utilisation de titres dématérialisés. Concrètement, les entreprises peuvent proposer depuis le 2 avril 2014 à leurs salariés d’abandonner les bons vieux carnets contre une carte de paiement, voire même une simple application pour smartphone. Des alternatives non obligatoires mais que l’on promet plus pratiques. Une bonne nouvelle ?? Quelles formes prendront les tickets dématérialisés ? Le support de prédilection sera la carte. De la taille équivalente à une carte bancaire, elle s’utilise de la même manière carte Moneo Resto, mais aussi sans contact carte Ticket Restaurant. Le support le plus avancé techniquement est cependant Resto Flash, une application pour smartphone qui dématérialise complètement cet usage. Peu d’avantages Du côté des changements, il y a des bons côtés. Si la carte est perdue il est possible de faire opposition et d’en recevoir une autre. La sécurité est optimale car un code secret est obligatoire pour l’utiliser. Jusqu’à présent les tickets perdus ou volés, n’étaient pas remboursés, c’était une perte sèche pour le détenteur on estime que la perte pourrait s’élever aujourd’hui à 80 euros par an et par utilisateur; en cas de perte de la carte, elle est remplacée et l’argent qui était stocké sur la précédente est reporté sur la nouvelle. Nous pourrons également payer la somme précise. La simplification va être aussi très appréciée par les directions des ressources humaines et les services comptables des entreprises. Plus besoin de distribuer des carnets à chaque collaborateur, ni de compter chaque mois, le nombre de titres qui lui revient. La saisie et la mise à disposition sera aussi simple que la gestion des autres lignes du bulletin de salaire. Mieux encore, selon les professionnels, les frais de gestion seront suffisamment réduits pour que le titre restaurant puisse faire son entrée dans les TPE, un marché peu exploré par les opérateurs jusqu’à présent. Beaucoup d’inconvénients En revanche, les utilisations plus ou moins légales, mais très largement acceptés et pratiqués vont devenir impossibles. Il faut noter que la plupart de ces limitations existent déjà de longue date, mais que quasiment personne ne s’en souciait. Les professionnels sont très inquiets car ils soupçonnent que ce sont avant tout ces pratiques qui ont fait le succès des titres restaurants en France. Quelques exemples il ne sera plus possible d’utiliser plus de deux tickets par repas, même si l’on a envie d’inviter un collègue ou un ami. C’est bien dommage pour la convivialité et ce geste tellement apprécié entre collègues qui consiste à dire je serais ravi de vous inviter ». Impossible également de compter sur la complaisance d’un restaurateur pour les utiliser le dimanche. Seuls les salariés qui travaillent ce jour-là auront le droit d’utiliser ce moyen de paiement pour régler leur déjeuner. Impossible également de les utiliser pour régler partiellement les courses de la semaine au supermarché à l’exception des plats cuisinés, produits laitiers, fruits et légumes toujours officiellement payables avec des titres restaurant impossible de les céder à ses enfants, son conjoint ou toute autre personne. Les nombreux mendiants que l’on croise dans nos rues ou dans le métro, avaient l’habitude de recevoir bien souvent un ticket restaurant dans leur sébille. Pour eux, le passage à la carte, sera très cruel. Mais le pire, c’est que l’arrivée des cartes à puce, fait aussi des mécontents chez les restaurateurs. Plusieurs d’entre eux ont déjà créé des collectifs pour se plaindre des conditions tarifaires exigées par les émetteurs de titres. Ils s’inquiètent aussi des conditions d’utilisation. Les terminaux de paiement dont ils disposent vont vite surchauffer car le paiement par la carte resto » déclenche un appel vers un centre automatisé de gestion. A l’heure de pointe, les clients vont s’impatienter. D’autre part, les restaurateurs, qui sont bien ceux qui vont payer le plus, signalent aussi qu’ils auront aussi des frais de télécommunication supplémentaires. Voilà ….. c’est beau le progrès … non ??
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